Mère des jeux latins et des voluptés grecques, Lesbos, où les baisers languissants ou joyeux, Chauds comme les soleils, frais comme les pastèques, Font l'ornement des nuits et des jours glorieux, — Mère des jeux latins et des voluptés grecques
vendredi, août 19, 2005
Samantha, II
Le soir, après avoir suivi le coucher de soleil sur la plage, on est rentrés se coucher. Soudain, dans la petite chambre avec mon mari, j'ai eu envie de faire l'amour et mon mari m'a seriné à l'oreille qu'on ne pouvait pas, que tout le monde allait nous entendre. Je lui ai répondu que s'il ne me prenait pas, je le quittais. Et on a fait l'amour dans le silence. Ça me faisait mal de retenir mes cris, mais je me suis tu et j'ai laissé monter mon orgasme sans dire mot. J'en avais plein les cuisses et je me suis essuyé avec le coin du drap en pensant à Kathrine, à ce qu'elle m'avait avoué et ce que nous avions fait. Je n'étais pas encore prête pour ça.
Le lendemain, on nous a annoncé que nous allions passer ce samedi à l'autre bout de l'île et nous avons emmené le pique-nique et marché près d'un kilomètres. Là, c'était la surprise. Plus de maillot de bain! Tout le monde était nu. Kathrine m'expliqua que s'il y avait des plages et des camps naturistes, les gens préféraient ces petites plages où tout le monde se connaît. Mon mari fit la tête mais finit par nous accompagner. C'était comme la liberté, enfin, conquise. Du plus jeune au plus beau, ils étaient tous beaux. Peu importe la taille des poitrines et des verges. Il y en avait qui bandaient. Et quand à midi, Kathrine a saisi la saucisse et l'a coupée, elle m'a lancé un coup d'oeil. Je ne sais pas si j'avais compris mais plus tard, dans l'eau, quand elle a nagé près de moi, elle m'a demandé si j'avais déjà fait l'amour avec un godemiché.
- Bouh! t'es folle!
- Ah! tu ne sais pas ce que c'est!
J'avais soudain un doute. Ce coup d'oeil... Elle continua :
- Tu n'as connu que ton petit mari?
- Oui!
- Alors, tu ne connais rien!
- Que veux-tu dire? La saucisse?
- Oui, je m'en suis déjà fourrée une!
- Pas celle-là?
- Non, j'ai pas eu le temps, mais j'aurai bien voulu!
On fit quelques brasses puis on s'est arrêtées sur une butte où on avait pied. Kathrine me prit tout de suite la main et la posa sur sa poitrine;
- Caresse-moi!
J'avais plutôt envie de l'embrasser sur la bouche mais elle avait porté sa main sur ma hanche et ses doigts descendaient le long de ma fesse.
- Tu es toute belle!
Et là j'ai senti qu'elle m'avait enfoncé un doigt dans l'anus et j'ai planté mes ongles dans son sein et tout s'est enchaîné. Son autre main est venue sous mon ventre et c'est mon con qui a reçu son doigt et je me suis sentie verrouillée. Et incapable de m'en empêcher. et de planter mes ongles dans sa forte poitrine avec le désir de l'embrasser sur la bouche. Comme elle savait y faire! Et la mayonnaise montait, montait et une nouvelle fois j'ai joui dans ses doigts.
Kathrine jubilait :
- Ça sera comme ça tous les jours! Tu seras ma fille de joie!
Et là, elle a mis ses mains autour de mon cou et m'a embrassée sur la bouche. On a fini sous l'eau, sans témoin, à mourir d'étouffement. En revenant au rivage, elle me tenait la main et répétait qu'on allait se marier. Oh! oui, je pensais. Ma poitrine était prête à éclater sous le désir et mon con débordait d'enflement sur mes cuisses et me gênait pour marcher. On remontait vers notre "campement" et ce que j'ai vu m'a soufflée : Assis sur sa serviette, son fils aimé bandait et se caressait un tant soit peu et en face de lui, une jolie blonde aux seins en poire le regardait. Kathrine avait vu elle aussi et se pencha sur mon oreille pour me dite que son fils avait besoin de baiser.
- Ne fait pas attention!
Kathrine m'essuya et en profita pour me caresser à nouveau et me faire des propositions comme de me sucer les mamelons et ajouta même qu'elle me téterait quand j'aurai accouché. Et puis son fils, suivi de la blonde, s'est levé et ils se sont enfoncés dans les dunes. Un quart d'heure plus tard, ils sont revenus et il s'est assis à côté d'elle. A voir la forme de ses seins, j'ai vu qu'elle avait eu un orgasme; La fille était à peine à quatre mètres de nous. Elle griffonnait sur un papier son numéro de téléphone où je ne sais quoi. Katherine se pencha vers moi :
- Je crois que ce n'est pas la première, mais ils vont bien ensemble, non?
Je ne répondis pas. J'avais trop de choses à assimiler sans compter la proposition de Kathrine. Ça faisait beaucoup de choses à penser. Si je divorçais, ma famille serait catastrophée. Si je... Le corps bourré d'hormones, je ne me retrouvais plus. Demain matin on partait et on faisait une escale à Amsterdam pour la nuit. Mon dieu, quitter Katherine... On se reverrait à Paris. Dans quel état je serais?
On rentrait au bungalow. Toutes les deux, nous marchions en arrière et on tentait de se tenir par la main autant qu'on pouvait que nous étions sous la menace d'être vues par mon mari. Cette nuit-là, sa bite ne me fit rien. Il me remplit de son foutre, Je lui dis que j'avais joui. J'étais un peu dégoûtée et je ne savais quoi penser. Dans le bateau j'ai vomi. On s'est quittés sans effusions.
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2 commentaires:
Mais oui ! toujours aussi attachants ces personnages. Vrai ou faux, peu importe, ce récit est craquant !
oui, elle est douée, l'Hélène... Pour qui nous n'aurons pas besoin de faire une guerre de Troie, mais l'amour à trois, oui, si elle veut !
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