Mère des jeux latins et des voluptés grecques, Lesbos, où les baisers languissants ou joyeux, Chauds comme les soleils, frais comme les pastèques, Font l'ornement des nuits et des jours glorieux, — Mère des jeux latins et des voluptés grecques
lundi, août 28, 2006
Thallia passe à l'audace !
Quelle idée j’avais eu là !
Je me retrouvais assise dans une voiture d’une parfaite inconnue, entrain de lui réenfiler sa petite culotte !
Je n’avais pas voulue déranger mon amie qui s’était proposée de me raccompagner avec sa maman, mais pour les quelques kilomètres qui séparaient nos maisons, j’avais l’habitude de les faire à pieds et plus rarement en stop !
Comme nous n’avions pas cours aujourd’hui, j’avais passé le dimanche et la nuit chez ma meilleure amie… à cause d’un violent orage qui avait traversé la région la veille au soir, sa maman m’avait proposé de passer la nuit chez eux, après avoir avertit mes parents.
Mélanie m’avait alors proposé de dormir avec elle, puisque ne disposant pas de chambre d’ami(e), ce que j’avais accepté avec beaucoup d’enthousiasme et d’innocence.
Mais j’avais passé une très mauvaise nuit, Mélanie ayant un sommeil très agitée, peuplé me semble t-il de rêves très explicites, se touchant et haletant…
Je n’avais jamais ressentie de telles choses vis-à-vis d’une autre fille, j’avais eu plusieurs fois l’envie de la toucher et de me toucher, mais j’avais eu peur de sa réaction, elle d’ordinaire si réservée sur ses pratiques et relations amoureuses.
Alors, après le déjeuner, j’avais éprouvée le besoin de rentrer à pied chez moi, pour me vider la tête de ce que j’avais vue et entendue, un trouble persistant me nouant le creux de l’estomac !
J’avais entendue la voiture arriver, et presque par réflexe, j’avais tendue le pouce. Mes bottes me collaient aux pieds et j’éprouvais une certaine lassitude à les lever l’un après l’autre, malgré le grand plaisir que j’éprouvais de marcher seule. La voiture s’arrêta à ma hauteur.
Une femme d’une trentaine d’année se pencha sur le côté et m’ouvrit la porte. Elle portait une petite robe bleue, et je remarquais, presque clairement, les courbes de sa poitrine dénudée dans l’échancrure de sa robe. L’image de Mélanie me revint presque aussitôt… et je m’en voulue presque d’avoir tendue mon pouce ! La jeune femme semblait étonnée de me voir équiper de bottes à cette époque ! La pluie de la veille et une tenue pour la sortie dans un pub du coin m’avait poussé à les mettre, et j’avoue qu’avec ma jupette et mon top, cela m’allait à ravir… aux dires des garçons !
Elle me proposa de les quitter le temps du trajet et bien lui en prit car j’avais l’impression que mes pieds étaient en train de cuire à l’intérieur ! Je l’entendis me dire que cela ne la dérangeait pas, au contraire ! Sa voix semblait résonner dans mes oreilles tellement elle semblait si profonde et si émue. Je me redressais sur le siège et me pencha en avant pour me déchausser. Le haut des cuissardes descendit mais quand il fut question de sortir mon pied, celui-ci collait au fond de la bottine et refusait d’en sortir, et ne pouvant pas prendre une position plus pratique dû à l’étroitesse de la place, mes efforts semblaient vains ! Elle me proposa alors de tenter de retirer l’autre botte, comme si mon échec la contrariait. Je pris le haut de ma cuissarde gauche et tenta la même opération que celle de droite, avec bien sûr le même échec. Elle me proposa de m’aider et stoppa presque aussitôt la voiture. Elle se hâta quasiment dehors, passa devant la voiture, j’ouvrais ma portière et alors que je m’apprêtais, elle se mit à genoux devant moi et anticipa ma réaction. Elle me saisit le pied gauche, et sentant une résistance, elle posa sa main sur le haut de ma cuisse, ce qui me fit comme une décharge électrique, surprise qu’une main puisse m’offrir cet effet là ! La botte ne résista pas à son effort, et je sentis sa main me frôler tout le long de la jambe en guidant la botte, accentuant encore un plus le trouble naissant ! Presque naturellement, je lui tendis mon autre jambe, éprouvant un certain réconfort du pied enfin libéré, et pressé d’offrir à l’autre ce même bien-être! Je remarquais même pas que j’offrais à mon hôtesse une tenue et une vue un rien provocatrices. Son regard se fixait sur mon entre-jambe, et la botte droite fut retirée presque par automatisme, tant ses yeux semblaient aimantés par ce qu’ils devaient entrevoir. Bien sûr sa main glissa un peu plus appuyée le long de ma jambe droite, ce qui eut le don de me faire frissonner… Je la remerciai d’un compliment somme-toute banal, ce qui lui fit dire qu’elle aurait aimé s’occuper des femmes dans une autre vie ! Je fis le rapprochement entre son allusion et les caresses à peine voilées qu’elle m’avait dispensé pour cette séance de déchaussage improvisée ! Je lui souris, un brin ravie qu’une belle femme puisse s’intéresser à moi… Elle me rendit mon sourire et se releva. Elle fit le tour de la voiture et vint reprendre sa place derrière le volant. Une étrange atmosphère s’était installée entre nous. Avions-nous été trop loin ? Ou pas assez ? J’osais à peine à la regarder… elle sûrement ! Sa vitesse était relativement lente, comme si elle attendait le moment opportun pour s’arrêter de nouveau !
Je remarquais que sa voiture était équipée d’un lecteur CD et je lui demandais si elle avait des disques. Elle m’indiqua le vide-poche que j’ouvris. Deux trois pochettes étaient là, et sur le dessus posé négligemment un bout d’étoffe. Mes doigts le saisirent pour l’écarter mais je ne pus m’empêcher de le sortir. Aucun doute, c’était une culotte en dentelle noire ! J’étais presque gênée de tenir ce bout de tissu qui semblait d’évidence appartenir à ma voisine de gauche. Celle-ci d’ailleurs poussa un «oups», mélange de surprise et d’effroi à la vue de sa culotte entre mes doigts! Ce fut plus fort que moi, et je ne pus m’empêcher de lui demander si elle portait un sous vêtement en ce moment. Elle tenta un instant de se justifier en évoquant les femmes aimant se promener fesses nues et celle plus plausible d’une température ambiante lui ayant donnée l’envie de s’aérer ! Je me souvenais bien de m’être promener fesses nues mais quand j’étais petite fille et depuis que j’étais devenue femme, je n’avais imaginé que je puisse le faire et même le voir ! Ceci rajoutait encore un peu plus de trouble en moi !
Entre Mélanie avec ses allusions et gestes sans équivoques qui m’avait laissée dans un drôle d’état et cette femme ne cachant pas son désir à mon encontre par ses gestes, ses regards et son comportement, j’avais l’impression que tout mon «moi» était en train de vaciller.
J’étais déstabilisée, mais mon hôtesse ne semblait pas au mieux aussi ! Je voulais en avoir le cœur net ! Elle tendit la main pour récupérer son bien. J’avalais ma salive et je m’étonnais à lui intimer presque l’ordre de la remettre ! Nos regards restèrent un instant confondus, elle très étonnée que je puisse m’adresser à elle en ces termes. Alors de nouveau elle stoppa sa voiture à l’entrée d’un petit chemin qui s’enfonçait dans la pinède. Je tenais toujours mon «trophée» ! Elle sortit et lentement refit le tour du véhicule. J’en profitais pour ouvrir ma portière tout en la suivant du regard et sortit mes jambes dehors. Elle vint se mettre devant moi et j’hésitai un instant à lui tendre sa culotte. Je la dépliais la tenant à chaque extrémité de l’élastique comme pour exposé à son regard l’objet de s(m)a convoitise !
Et si c’était moi qui la reculottait ?
Il y avait deux solutions : soit j’en prenais une ! Soit elle se pliait à mes désirs !
Mais j’avais la possibilité en cet instant de «laver» toutes les vexations que les adultes pouvaient me faire subir dans la vie, au lycée, à la maison… ! … Très brève illusion en fait, moi qui avais bien dû mal à remettre en cause les autorités sous quelques formes qu’elles pouvaient être ! Petit moment de domination et de jubilation… j’en profitais un peu…ben oui !... mais j’étais tellement troublée, que je mesurais chaque mot que j’allais lui dire !
- Voulez-vous bien lever votre pied gauche ? Elle semblait en suspens, à la fois incrédule, étonnée et un peu fière à la fois que je puisse le lui demander. Pourtant j’étais tendue à l’extrême, prête à recevoir toutes sortes d’admonestations… Elle leva à peine le pied gauche et je dûs me pencher en avant pour qu’elle puisse le passer dans l’ouverture, le laissant à hauteur de sa cheville.
Je levais les yeux comme pour lui demander l’autre pied. Ma conductrice semblait dans tous ses états ! Sa peau luisait de sa transpiration. Elle leva le pied droit et je le glissai dans le trou que je formais avec mes doigts. Elle avait à présent les deux pieds posés au sol, la culotte noire au niveau des chevilles et j’avais à hauteur des yeux le bas de sa petite robe bleue. Je n’allais pas tarder à apercevoir son intimité ! J’avais la bouche sèche, et je me passais presque machinalement la langue sur mes lèvres pour les humecter. Je saisis le bout de tissu de chaque côté des chevilles et lentement entreprit une lente remontée ! A chaque instant, j’avais l’impression que sa peau réagissait à chacun de mes touchés. Les mollets, les genoux, là mes mains commencèrent à toucher le tissu de la robe qui remonta dans le même mouvement… les cuisses, les entres-cuisses et là j'aperçus sa vulve rose et imberbe, celle que mon hôtesse voulait aérer! J’étais comme hypnotisée et fascinée en la regardant, puis je la recouvris peu à peu du tissu noir transparent. Et là, je ne pus m’empêcher de laisser aller mes doigts… juste sous l’élastique, comme pour bien le positionner, mais en effleurant ces lèvres… ce qui la fit trembler et soupirer instantanément. Ses deux mains s’accrochaient au pan de sa jupe, la maintenant bien relever …
Pendant un instant je fus prise de panique, me rendant compte que j’allais pour la première fois toucher une autre femme, mais que rien ne pouvait m’en empêcher, comme attirée et aimantée par cette femme que je ne connaissais pas encore il y dix minutes ! Et Mélanie m’avait tellement attisée cette nuit, que du haut de mes dix-huit ans, je voulais… savoir !
J’avais perdu toute notion du temps et de l’espace ! Cette femme me dévorait des yeux et n’attendait qu’une chose : que j’aille plus loin… du moins c’est ce que je ressentais à cet instant là ! Sous mes doigts je sentais ses veines palpiter, m’annonçant que j’étais sur la bonne piste ! Le bout de mes doigts frôla ses lèvres, et je ressentis presque aussitôt comme une douceur à mes extrêmes. Elle réagit aussitôt à cette caresse plus intime.
- Humm ! Son regard plongeait dans le mien, comme pour me commander d’aller plus loin… elle était toujours debout devant moi, tenant sa robe à hauteur de son ventre, moi, les doigts des deux mains coincés de chaque côté sous l’élastique. Et là presque naturellement, la petite culotte noire entreprit de refaire le chemin à l’envers… ! Je redécouvris alors son mont de vénus rose et imberbe, les lèvres légèrement écartées et humidifiées !
Mon hôtesse s’écarta de moi, ouvrit la porte arrière, saisit une couverture qui recouvrait le siège arrière, et referma la porte
- Viens avec moi… !
Un peu embarrassée, je me levais, me tenant à présent debout prêt d’elle, elle se pencha à l’intérieur de la voiture, pour saisir les clés restées sur le contact, et en un instant j'aperçus ses fesses nues quand sa jupe s’étira dans son mouvement. Elle se redressa, recula et ferma la porte. Un «clip» assura la fermeture de la voiture. Elle me sourit, me prit la main et m'entraîna sur le petit chemin qui s’enfonçait dans la pinède. Elle cherchait du regard un endroit discret. Nos forêts étant bien entretenues, on y trouve rarement de petits fourrés propices à cacher du regard des jeux libertins. On fit environ cent mètres dans le bois, et là sur la droite un petit espace herbeux, protégé par des jeunes pousses d’environs deux mètres de haut, offrait un endroit idéal ! De plus le soleil inondait l’endroit de ses rayons… j’avais le cœur qui battait vite, la sueur due à la chaleur, mais aussi l’excitation du moment me faisait dégouliner de toute part.
- Je m’appelle Julie, et vous ?
Ma nouvelle amie se retourna, un brin désabusée et un peu vexée de ne s’être pas présenter plus tôt ! Mais en avait eu-t-elle vraiment le temps ?!
- Moi c’est Ingrid ! Tenez, aidez moi s’il vous plaît !
Elle tendit la couverture que je saisis d’un bout et l’aida à l’étendre sur le sol. Elle se mit à genoux dessus pour tenter d’aplanir les bosses dus aux touffes d’herbes qui se trouvaient dessous. Je fis comme elle et m'agenouillai face à elle, et par petites touches, je tapotais la couverture sans plus ardeur. Je fixais son regard, ces grands yeux luisaient d’une impatience digne d’une adolescente que j'étais il y a pas si longtemps encore, sa bouche bien dessinée, à peine recouverte d’un rouge à lèvres qu’elle avait dû mettre ce matin, ses cheveux bruns retenus en arrière, ses joues rouges descendant sur un menton un peu carré, signe d’une certaine autorité !
- Tu as quel âge ?
- J’ai dix huit ans, je suis en terminal ES à Bordeaux
A l’annonce de mon âge, je sentis chez elle comme un poids en moins !
- Et vous ?
Ma demande sembla la déstabiliser un instant !
- Trente ans !
Malgré tout, elle fit les quelques centimètres qui nous séparaient encore. Je sentais sa respiration, je sentais son parfum mélangé d’une odeur qui lui était propre, je voyais ses narines se dilater à chacune de ses respirations, dans son regard quelque chose que je devinais mais que n’arrivais pas à cerner !
- Tu… tu… te poses pas … des questions ? Sur mon comportement ?
Sa bouche était à quelques millimètres de la mienne ! Je sortais avec Sébastien depuis six mois, et cette impression de la « 1ere fois », je la ressentais de nouveau très fort avec Ingrid ! Mais là c’était une femme en face de moi, et moi qui croyait n’être attirée que par les garçons, mon copain ayant obtenu de moi que je lui offre ma virginité il y a quelques semaines seulement !! Je n’avais pratiquement aucune expérience de l’amour! Mais là, je savais ! Je savais que quelque chose allait se produire… et Ingrid le savait aussi ! Elle effleura mes lèvres… j’étais tendue comme un arc… je frissonnais à cette première tentative… elle revint … de nouveau m’effleura… comme pour me tester… la troisième, elle posa ses lèvres sur les miennes… j’étais à la fois fascinée et bouleversée ! J’avais les yeux grands ouverts, cherchant dans son regard un moment de faiblesse, mais rien ne transparaissait de cette «mante-religieuse» Ces lèvres s’entrouvrirent et je sentis la pointe de sa langue contre mes dents… je desserrais l’étau et la laissa passer… Elle chercha aussitôt la mienne et en quelques instants, nos deux langues faisaient causes communes et s’enlaçaient à droite, à gauche… Elle avait la langue douce… et sa salive, sorte d’aphrodisiaque, éleva encore un peu plus mon taux d’excitation… Ingrid devenait comme folle durant ce long baiser, nos têtes allant d’un côté à l’autre ; nos langues tendues à l’extérieur, puis de nouveaux s’entremêlant à l’intérieur de nos bouches. Nous étions toujours à genoux face à face… Ingrid posa ses mains sur les miennes que je tenais sagement sur mes cuisses, et les remontant lentement le long de mes bras… mon top était trempé de sueur… ses mains montèrent jusqu’à mes épaules… et redescendirent lentement sur le devant… les paumes tendues… les doigts vers le haut… je les sentais sur le haut de ma poitrine… puis sur mes bouts… qu’elle commença à masser par petits cercles concentriques… et le résultat, c’est que je sentis mes tétons durcirent sous cette caresse… elle le sentit aussi, car elle accentua la pression dessus… et quand elle jugea qu’ils étaient prêt, elle baissa les mains pour saisir le bas du top et me l’ôter… j’avais les pointes dressées… aussitôt elle y jeta sa bouche dessus pour les happer l’une après l’autre… je ne pûs retenir un râle de plaisir… j’éprouvais toujours beaucoup de plaisir aux caresses mammaires ! Elle s’en rendit compte et accéléra ses baisers… une sorte de transe d’amour l’envahissait… m’envahissais aussi !Abandonnant un instant mes seins, elle reprit un langoureux et amoureux baiser… s’abandonnant parfois à laisser courir ses lèvres le long de mon cou et sur ma poitrine… ses mains s’activaient aussi sur mes globes dont les pointes maintenant étaient tendues à l’extrême… j'aperçus alors qu’elle avait ouvert sa robe sur le devant et ses seins apparaissaient à chacun de ses mouvements… je tendis mes mains et les saisis à mon tour… ce qui me faisait du bien pouvait l’être aussi pour Ingrid ! Mes mains englobèrent ses mamelons, les caressaient, et mes doigts virent agacer les pointes…
Elle m’aida à faire glisser sa robe et se retrouva nue devant moi… alors que j’admirais son corps, elle me repoussa gentiment pour que je puisse m’allonger sur le dos… et d’une main experte, fit glisser ma jupe qu’elle posa sur sa robe… j’étais en simple culotte de coton blanche… que Mélanie m’avait prêtée, n’ayant pas prévu de change pour coucher chez elle !
J’étais encore tendue, n’arrivant pas trop à comprendre ce qui m’arrivait ! Elle s’allongea sur moi, ses seins collés aux miens, et nous reprîmes un audacieux baiser… Jamais encore personne ne m’avais embrassé ainsi… privilège des plus anciennes certainement!
Je sentais son corps ondoyé sur le mien, son bas-ventre allant et venant sur le mien … elle semblait vouloir m’imposer un rythme, une cadence… et malgré ma culotte, j’éprouvais un certain plaisir à cette caresse langoureuse… et malgré mon inexpérience, je ne pouvais m’empêcher de suivre son mouvement et d’onduler comme elle, ce qui finit par me procurer une excitation qui me prenait du bas du ventre et remontait jusqu’à ma poitrine…Je commençais à mouiller … je sentais en moi une gouttelette de liquide descendre au plus profond de moi, inondant mon vagin, que mes lèvres stimulées par des petits spasmes tentaient de retenir… je gémissais maintenant un peu plus, bruit étouffé par l’étreinte de ses baisers, mais elle le sentait et accentua encore un peu plus la pression sur moi…. J’écartais un peu les jambes pour mieux ressentir ses frottements, j’avais l’impression que le feu m’envahissait à l’intérieur, j’avais une envie terrible de me toucher, mais la culotte me gênait… Ingrid sentit mon trouble … et se redressa un peu… se recula et lentement entreprit de dévoiler mon anatomie que peu de monde avait eu la chance de voir en dehors de mon ami, mon médecin et de ma gynécologue !Dans son regard, une expression de surprise en constatant que ma vulve était encore bien fournie au niveau toison pubienne… juste le maillot que je faisais dans mon bain… mais elle n’en laissa rien de plus paraître et retira tout aussi langoureusement ce bout d’étoffe qui nous gênait tant dans notre plaisir grandissant…
Mon excitation monta encore d’un cran, et j’étais à présent totalement à la merci d’Ingrid, mon corps réagissant à chacune de ses caresses, j‘avais presque instinctivement ouvert mes jambes pour lui laisser le passage… elle se rallongea sur moi… titilla mes pointes de coups de langues savamment dosés, puis lentement descendit sur mon ventre… jouant avec ma toison, je sentais sa langue aller et venir sur mes lèvres - ce qui eu pour effet de me décrisper et d’enfin libérer mon plaisir - l’appuyant à peine pour s’immiscer entres elles, elle s’appliquait à me lécher pour s’abreuver de mon précieux nectar, puis ses doigts délicatement se posant dessus, par petites touches, cherchaient le petit bouton qu’elle sentit enfin rouler sous son doigt… Je ne pûs m’empêcher de gémir sous cette étreinte, surtout quand sa langue vint de nouveau le titiller… je fermais les yeux pour apprécier ce moment, ondulant le bassin, sa langue se faisant plus inquisitrice, me pénétrant dans mon vagin offert… les premiers spasmes commencèrent à me faire frissonner malgré la température ambiante, et elle entreprit de me pénétrer avec un doigt… puis deux… le tout ponctué d’une experte minette… mon corps était traversé de vibrations que je ne pouvais pas contrôler, me laissant aller à des gémissements de plus en plus forts, me caressant les seins pour encore accentuer le ravissement … Ingrid accéléra ses caresses, me sentant prête à jouir… l’orgasme fut foudroyant… des cris de jouissance sortant de ma bouche grande ouverte … quel pied !
…
Le soleil baignait la petite clairière, où nos deux corps semblaient se prolonger, unis l’un de l’autre… Ingrid avait retiré ses doigts… j’avais encore les yeux fermés, mon rythme cardiaque descendant lentement… je me rendis compte que j’étais ouverte comme une fleur, toute offerte aux plaisirs et aux désirs de ma nouvelle maîtresse… cela avait été tellement soudain et tellement bon que j’en voulais encore… même mes caresses intimes ne m’avaient encore donné une telle jouissance… J’émergeais à peine qu’Ingrid se glissa sur mon côté… toute en caresses… elle reprit ma bouche d’un suave baiser… une main sur mon sein droit… qui descendait lentement sur mon ventre… ma hanche… une petite pression, comme pour me faire retourner…
- Tourne-toi…
Dans sa voix, une pointe de fermeté… et je me tournais vers la gauche… je me retrouvais sur le ventre… elle glissa sa main dessous pour me forcer à remonter légèrement mes fesses… j’écartais un peu les jambes pour bien me maintenir… et tout à coup je sentais sur ma fesse droite une claque… j’écarquillais les yeux, un peu incrédule…
- Je te donne une petite fessée…
Le feu de la claque se dissipa un peu pour laisser place à une douce chaleur qui envahissait peu à peu ma fesse un peu meurtrie… j’avais l’impression d’en éprouver un certain plaisir !
- Pour la manière dont tu t’es comportée tout à l’heure à mon encontre… !
Et elle me donna une deuxième claque, plus forte que la première…
- Hannn !
Elle me tira une plainte de douleur… vexée que je fusse d’être ainsi fessée, moi dont mes parents n’avaient jamais levé la main sur moi, mais à ma grande surprise, j’en éprouvais presque aussitôt comme du plaisir…
- Humm… !
Elle recommença alors sur l’autre fesse… même sensation, même plainte et même plaisir… je me cambrais un peu plus pour lui offrir ma croupe…elle se redressa, se mit à genoux à côté de moi… de la main gauche me saisit mes cheveux et me tira la tête en arrière… elle m’ajusta une autre claque…
- Anh ! … Humm !
J’éprouvais une drôle de sensation à présent…
Ingrid se glissa derrière moi, j’étais à quatre pattes, légèrement cambrée, et je sentais sa langue qui entrait de nouveau en moi… puis c’était au tour de mon petit trou de subir ses assauts… j'eus un instant de panique… cet endroit était encore inviolé… mais la douceur de sa langue estompa mes craintes… contrastait à la douleur des fessées ! je sentais une légère pression sur ma rondelle… un doigt… son doigt… il tournait lentement dessus… une fraîcheur… sa salive… puis doucement je le sentais s’enfoncer…
- Humm je le sens… c’est bon… !
Je me cambrais un peu plus
- Votre doigt… je le sens bien en moi… !
Effectivement, cette sensation de pénétration me faisait écarter un peu plus les jambes…
Ingrid se redressa, s’approcha tout contre moi, interrompant sa caresse… et colla son bassin contre le mien…
- Je voudrais être en toi…
Elle murmurait plus qu’elle ne parlait… Je sentais que je dégoulinais de plaisir… je ressentais sa chaleur contre moi… elle frottait son vagin contre ma fesse gauche et je percevais son humidité et son envie…
Puis se collant encore un peu plus à moi, elle se mit à frotter ses seins contre mon dos… je ressentais sa transpiration et la sensation de ses pointes qui durcissaient peu à peu sous cette caresse… puis lentement elle fit des mouvements de haut en bas contre mon dos… puis sur le haut de mes fesses… puis elle se mit à frotter sa chatte contre mes fesses… la sensation de ses lèvres ouvertes et humides sur ma peau…
- Retourne-toi ma chérie…
- Oh oui…
- Je veux être contre toi et t’embrasser…
Et dans le mouvement, alors que je me retournais, nos bouches s’unissaient dans un long baiser… un baiser passion… elle se mit à genoux au dessus de ma cuisse gauche me maintenant par la cuisse droite… je sentais sa vulve se coller à la mienne… mon clitoris gonflé se frottant au sien…. Comme notre salive, notre cyprine se mélangeait… la mienne coulant en elle, la sienne en moi… le mouvement de nos bassins s’accélérait, ondulant pour rechercher le meilleur contact… elle se redressa comme pour mieux jouir du spectacle, me caressant les seins… mon corps se mit tressaillir, un premier spasme me traversa, nous gémissions toutes les deux en tempo …. Nos deux chattes accouplées … Ingrid ralentit et stoppa presque le mouvement, comme pour mieux ressentir notre fusion… puis elle reprit ses coups de butoirs… comme pour simuler une pénétration… je m’arc-boutais pour mieux la sentir … en lui caressant les seins… elle se laissa glisser sur le côté, pour s’installer en ciseau… la tenant par la cuisse gauche, elle par la hanche pour maintenir la pression sur nos deux vulves… nos bassins se mouvant de plus en plus vite… Ingrid éprouva la nécessité de se caresser en même temps pour décupler sa jouissance … je sentais sa main s’activer contre ma chatte… je me caressais aussi… l’orgasme nous tétanisa en même temps… je venais de jouir pour la deuxième fois… puis Ingrid se laissa lentement retomber en arrière… je me couchais à moitié sur elle et l’abreuvais de baisers dans le cou, sur ses seins, sur ses lèvres… de nouveau un long baiser… nous étions allongées l’une sur l’autre, ses mains me caressant le dos, les fesses comme pour se faire pardonner de sa petite « violence » qu’elle avait eu à mon encontre…
- Comme j’aime ta peau… Je suis désolée pour tout à l’heure… !
Dans sa voix, je ressentais beaucoup d’émotion et de sincérité, mais je ne lui en voulais pas, bien au contraire, j’avais éprouvé tellement de plaisir sous ses fessées que je me surprenais à croire que je pouvais aimer ça… et j’espérais presque que l’on recommencerait… elle était ma Maîtresse à présent !
Que d’émotions en si peu de temps !
Mais je reprenais contact avec la réalité, et supplia Ingrid de me ramener chez moi, ma mère allait finir par s’inquiéter de mon retard…
…
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Ce texte est la suite de :
"Sur ma route, Thallia provoque des vapeurs"
et
"Aux mains de Thallia"
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