samedi, septembre 17, 2005
Eros et Uros : ou comment Bilitis cumule une double pression (belge) !
Éros, dieu de l'amour bien connu, est un ptit fripon! Il lui arrive de faire des farces avec son frère Uros, nettement moins connu du public. Je les ai réunis, ces deux coquins, dans une historiette qui m'a pratiquement été commandée sous forme de défi que je me suis amusée, avec un vif plaisir, à relever.La voici :
Mais quelle idiote je suis ! Dire qu’il aurait suffi que je passe aux toilettes chez ma copine avant de la quitter ! Me voilà maintenant à l’arrêt du bus, debout dans mon k-way, écrasée par la chaleur caniculaire de cette fin de mois d’août, à essayer de ne pas me faire remarquer. L’ampleur du vêtement me laisse espérer qu’on ne remarquera pas trop à quel point je me contorsionne, en proie à une de ces envies de pisser ! pff ! Une bonne dizaine d’arrêts et quelque 200 m de marche me séparent encore du lieu de la délivrance ! Franchement, je ne sais pas si je vais y arriver ! Faut que je pense à autre chose ! Et ce foutu bus qui n’arrive pas, évidemment ! j’aurais du m’en douter. Serrer les cuisses ne suffira pas indéfiniment ! J’irais bien jusqu’au prochain bistrot, tiens… ah ! mais voilà le bus ! espérons que je tiendrai jusqu’à la maison ! je grimpe… là, une place assise, je m’y précipite ! Croiser les jambes me permettra de mieux me retenir.
Pff ! ça va un peu mieux ! Quelle chaleur ! Il fait irrespirable ! Quelle idée j’ai eue de m’habiller comme en automne. Faut dire que ce matin, il faisait plutôt frisquet ! Aïe ! pourquoi est-ce qu’il freine aussi brutalement cet ahuri ? Il va me faire lâcher prise ! Là, je me cale bien au fond du siège. Plus bouger, respirer lentement, penser à… du feu ! voilà ! qui fait fondre tous les… liquides ! merde, non ! penser à… la terre ! qui absorbe toutes les eaux et sur laquelle ruissellent tous les fleuves ! oh, nooon ! c’est pas vrai !
Ah ! un arrêt. Qui monte là ?… Oh ! la belle fille ! Une de ces nanas canon, comme je les aime ! Bon sang ce qu’elle est belle ! Une rousse flamboyante ! Quel corps ! Mais d’où elle sort cette bombe ? Et… c’est pas vrai ! elle vient s’asseoir là, presque en face de moi ! Oooh ! Heureusement que j’ai mes lunettes de soleil ! hi, hi ! je vais pouvoir la mater à l’aise ! Qu’est-ce que j’ai à être attirée comme ça par les filles dès qu’elles sont un rien sexy ? C’est qu’elle est rudement belle celle là ! Et elle a l’air de le savoir en plus ! Mmmh ! Allons bon, voilà que là en-dessous s’ajoute un second problème à mon envie de pisser : je sens mon clito qui gonfle, ouh ! Et mes pointes qui se dressent, oh làà ! gaffe à toi, ma fille : tu es prête à inonder la banquette, là ! et pas que de pipi ! Ah ! la vache ! mais qu’est-ce qu’elle est belle ! Une peau cuivrée, couverte de taches de son, et une sportive, c’est clair ! Et elle, elle a du savoir qu’il ferait chaud : mini-jupe et débardeur ! Ça lui va à ravir ces grandes boucles d’oreille circulaires. Rarement vu une aussi belle chevelure ! Ce roux flamboyant !… Et ces cuisses, mmh ! J’adore la courbe que fait sa cuisse aplatie sur le siège. Ce que j’aimerais la caresser ! Je la regarde avec gourmandise ! Un fameux morceau ! Allons, calme-toi ! Regarde défiler les maisons !…
Pff, peut pas m’empêcher de la mater ! Ces yeux, verts, brillants, ces lèvres charnues, faites pour être embrassées goulûment ! mmh ! Et ces seins, bien ronds, bien fermes apparemment, qui se dandinent au gré des chocs !… Il conduit comme un pied ce gusse ! Elle… elle regarde par ici ! Bon sang, ce regard, ces yeux ! Ouh ! Mais je mouille, moi ! Bien le moment, tiens ! Je rêve ou… non, c’est bien à moi qu’elle a décerné ce regard ; mais si évasif, tellement indécis. Idiote, évidemment : tes lunettes ! Pas de contact possible avec ça ! Bon, je les enlève. Pff ! Elle regarde ailleurs évidemment. Gourde que tu es ! Oh ! oh, oh nooon, je fonds ! Son regard, elle me pénètre jusqu’au plus intime, j’ai l’impression qu’elle vient de plonger dans ma culotte ! Je… je vais lâcher là, c’est pas possible, ça ! Ouh ! Ses lèvres, ses cils, ses yeux !… Mais elle me fascine cette nana, elle est trop !
Noon ! elle descend ! je la suivrais bien, mais je peux pas : je ferais pas dix mètres ! J’ai rêvé ou elle m’a souri au moment de descendre ? L’idée que je ne la reverrai sans doute jamais me remplit d’une soudaine mélancolie. Ouh, ça me lance dans le bas-ventre ! Qu’est-ce que j’ai envie de pisser ! Vais plus pouvoir tenir…
Ah ! enfin, mon arrêt ! Encore 200 m. à parcourir sans précipitation, mais sans traîner ! Pff, chaque pas est douloureux ! J’ai l’impression que chaque fois je pose le pied au sol, la cataracte va se déclencher ! C’est malin tiens : là, juste en face de moi, ces fontaines qui font ce stupide bruit… de pipi ! Je les avais jamais vraiment remarquées, tiens ! Je me demande si ce n’est pas la première fois qu’elles… coulent ! Nan ! y a rien qui coule ici ! Grr ! Tenir, tenir ! Penser à autre chose… ses yeux ! je sens son regard au fond de moi comme si… rien à faire, c’était sexuel… sexe, noon, pas penser à ça ! mouille, pipi ! Ouh ! calme-toi ma fille, tu vas devenir dingo !
Encore 50m, j’y suis presque. Tiens, plus personne dans la rue ! Je devrais pouvoir y arriver ! Heureusement… encore un peu je pissais dans mon k-way ! Un beau gâchis, la pisse toute chaude entre mes jambes, quelle honte, mais quelle sensation aussi ! Mmh ! Rien que d’y penser… Eh mais, c’est vrai que ça doit être pas mal comme sensation ! J’ai jamais essayé ça, dans le fond ! La dernière fois que j’ai pissé dans ma culotte… hi, hi ! Ben j’étais encore une sale gamine. Euh… et pourquoi pas après tout ? Ouh, mais c’est que j’ai une sacrée envie là ! Envie de pisser, envie d’embrasser cette rousse, de faire du sexe avec elle, oui du sexe, oh ce mot ! ssexxe… pissse… Je deviens folle.
Et puis zut ! tiens, allez, je vais lâcher quelques gouttes, juste pour voir ce que ça fait ! Suis arrêtée, là je vois la porte de la maison ! c’est trop bête ! Allez, je me décide, mmh, juste quelques gouttes… Ooh ! ooh que ça fait du bien, mais c’est encore plus dur de se retenir après ! Allez, encore un peu ! mmh !… Ooh, c’est tout chaud ! Yiih, j’en peux plus, sexe, pisse, c’est si, bon, la fontaine, ses yeux, quelle belle pisse s’écoule entre mes cuisses, ça coule ! oh et puis flûte, je lâche tout ! Mmh ! aaah ! oh que c’est bon ! oh, oh ! Cette rousse, mais c’est que je vais jouir moi ! Trempée, là ! Chaud, boooon ! Ouh !
Oh, oh : je me calme ! J’ose pas baisser la tête ! Petit coup d’œil sur le côté… La honte : une petite rivière de pipi rejoint le caniveau. J’ai pissé comme une chienne… et cette tache sombre là, en plein milieu de mon k-way ! Zut, c’est qui cet abruti qui vient en sens inverse. Allez, vite, à la maison ! Je me remets en route et court pratiquement les derniers mètres. Une odeur un peu âcre me parvient qui achève de me troubler ! Mystérieux plaisir ! Faut que je fasse bien gaffe à pas y prendre goût !
Bilitis
vendredi, septembre 16, 2005
mercredi, septembre 14, 2005
aBBa : disco érotique et chaste
Tout au long des années 70, nos deux suédoises, encadrées par leurs époux compositeurs, ont chanté des "tubes" pour pistes de danse disco. Et dans les émissions ou les "clips" qu'ils enregistrèrent, Agnetha Faltskög et Frida Lynkstad étaient toujours proches, l'une à côté de l'autre, se souriaient du début à la fin, approchaient leurs visages - et puis... l'imagination faisait le reste, Agnetha succombait au charme de Frida, l'imagination, reine des facultés !
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