Mère des jeux latins et des voluptés grecques, Lesbos, où les baisers languissants ou joyeux, Chauds comme les soleils, frais comme les pastèques, Font l'ornement des nuits et des jours glorieux, — Mère des jeux latins et des voluptés grecques
samedi, septembre 03, 2005
vendredi, septembre 02, 2005
Et puis...
Des pas. Une personne entre dans la piscine privée. Les pas se rapprochent. Lolita regarde. Elle voit une femme qui vient. Et Lolita voit Lisa. Et Lisa voit Lolita.
L'entrée au bain
Lolita est rentrée dans sa chambre. Elle est seule. Elle est en petite culotte. Elle s'allonge sur le dos. Elle zappe sur la télé. Elle a gardé ses socquettes. Elle se redresse, s'appuie sur un coude, et regarde son peignoir de bain. Elle se lève. Elle se rhabille, elle passe un pantalon sport rose. Comme une jeune fille d'aujourd'hui, son tee-shirt est trop court, et laisse voir ses hanches et son ventre. Elle sort de sa chambre. Elle marche dans un couloir, avec un déhanchement... interrogatif ! Elle arrive dans une salle avec une piscine d'intérieur. Elle se deshabille. Elle entre dans l'eau. Vous contemplez son dos nu, son bassin, ses jambes. Ses fesses forment un double coeur ! Lolita est grande, mince, et néanmoins arrondie.
Pink Velvet 3, the beggining
Evocation de Mulholland Drive, de D. Lynch. Pink Velvet 3 commence.
Un Hôtel en Hongrie. Lisa parle à une jeune fille, sa fille. Celle-ci veut savoir qu'elle sera son rôle à l'Hôtel. La fille de Lisa n'es pas satisfaite de sa place. Lisa la rassure, mais lui rappelle que les responsabilités sont sérieuses. La jeune fille semble déçue par sa mère. Lisa s'efforce d'être douce avec elle. Lisa est bien coiffée, comme une femme à responsabilité doit l'être. Elle porte un chemisier largement ouvert sur son cou et son buste, sans décolleté. Elle porte un collier en or, très visible. Elle est maquillée. Sa fille, rassurée, elles s'embrassent, comme une mère et une fille.
Des voix. Deux femmes parlent à l'accueil d'un Hôtel. Une jeune fille entre. Elle demande sa clé. La propriétaire de l'Hôtel lui tend. Lisa regarde Lolita, en fait Lisa dévore des yeux Lolita... Lisa demande à Lolita s'il est vrai qu'elle s'en va. Lolita confirme. Le visage et les yeux de Lisa ne paraissent rien laisser paraître au premier abord, mais Lisa est très déçue, plus même, ses yeux sont noirs, un voile de tristesse passe sur son front. Lolita va partir et elle ne supporte pas cette idée. Lolita disparaît dans les couloirs... Au ralenti, le visage de Lisa est sublime. Car elle paraît ne pas accepter l'idée qu'elle puisse lui filer entre les mains sans avoir pu...
Un Hôtel en Hongrie. Lisa parle à une jeune fille, sa fille. Celle-ci veut savoir qu'elle sera son rôle à l'Hôtel. La fille de Lisa n'es pas satisfaite de sa place. Lisa la rassure, mais lui rappelle que les responsabilités sont sérieuses. La jeune fille semble déçue par sa mère. Lisa s'efforce d'être douce avec elle. Lisa est bien coiffée, comme une femme à responsabilité doit l'être. Elle porte un chemisier largement ouvert sur son cou et son buste, sans décolleté. Elle porte un collier en or, très visible. Elle est maquillée. Sa fille, rassurée, elles s'embrassent, comme une mère et une fille.
Des voix. Deux femmes parlent à l'accueil d'un Hôtel. Une jeune fille entre. Elle demande sa clé. La propriétaire de l'Hôtel lui tend. Lisa regarde Lolita, en fait Lisa dévore des yeux Lolita... Lisa demande à Lolita s'il est vrai qu'elle s'en va. Lolita confirme. Le visage et les yeux de Lisa ne paraissent rien laisser paraître au premier abord, mais Lisa est très déçue, plus même, ses yeux sont noirs, un voile de tristesse passe sur son front. Lolita va partir et elle ne supporte pas cette idée. Lolita disparaît dans les couloirs... Au ralenti, le visage de Lisa est sublime. Car elle paraît ne pas accepter l'idée qu'elle puisse lui filer entre les mains sans avoir pu...
jeudi, septembre 01, 2005
Luxe, calme et volupté
Mon enfant, ma sœur,
Songe à la douceur,
D'aller là-bas vivre ensemble!
Aimer à loisir,
Aimer et mourir
Au pays qui te ressemble!
Les soleils mouillés
De ces ciels brouillés
Pour mon esprit ont les charmes
Si mystérieux
De tes traîtres yeux,
Brillant à travers leurs larmes,
Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.
Des meubles luisants,
Polis par les ans,
Décoreraient notre chambre;
Les plus rares fleurs
Mêlant leurs odeurs
Aux vagues senteurs de l'ambre,
Les riches plafonds,
Les miroirs profonds,
La splendeur orientale,
Tout y parlerait
A l'âme en secret
Sa douce langue natale.
Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.
Vois sur ces canaux
Dormir ces vaisseaux
Dont l'humeur est vagabonde;
C'est pour assouvir
Ton moindre désir
Qu'ils viennent du bout du monde.
- Les soleils couchants
Revêtent les champs,
Les canaux, la ville entière,
D'hyacinthe et d'or;
Le monde s'endort
Dans une chaude lumière.
Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.
Rituel...
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