samedi, septembre 24, 2005


Tu viens ou tu boudes... ?  Posted by Picasa

C'est visiblement le pied...


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Don de Sa Seinteté - tétée...


Don de sa Seintete  Posted by Picasa

Recit de proximite, la reciprocite Posted by Picasa

Tu me...  Posted by Picasa

S.G, le point G dans la sororite...  Posted by Picasa

L'amour exige des soins...


Les soeurs ont toujours ete bonnes... pour les femmes charitables...  Posted by Picasa

une lectrice ? un commentaire ?  Posted by Picasa

Japonaisement votre...  Posted by Picasa

Lolita..., Lolita...  Posted by Picasa

Nous, nous nous verrons, mais vous...  Posted by Picasa

Vue sur...  Posted by Picasa

Mais c'est Thalia !  Posted by Picasa

Zone sucree  Posted by Picasa

Je ne resiste pas...  Posted by Picasa

Bilitis, I love you !  Posted by Picasa

Alena en dévotion de Liz P


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vendredi, septembre 23, 2005

Ainsi, contre toute raison

Faisant fi de la distance, défiant les cloisons du réel,
Je t’ai vue, image volée d’un instant figé, rêverie d’un moment.
À ton sourire incendiaire, je me suis consumée en vain,
Dans tes yeux d’océan, je me suis noyée sans retour.
Et je me suis prise à tenter l’impossible quête, l’illusoire élan.
Oui, en dépit de l’insondable gouffre qui nous sépare.
Contre toute raison.

J’ai voulu donner à ma paume la forme de ta joue, de ton cou,
J’ai voulu me remplir de ton parfum, boire ton sourire boréal,
Créer pour toi un temple de douceur, te murmurer des mots insensés,
Jusqu’au délire de mes sens affolés, tendue vers l’arc aboli des songes,
Contre toute raison.

Je ferme les yeux et continue d'être percée par ton regard,
Je ne recueille de ta présence magique qu’une dérisoire évanescence,
Contre toute raison.

Je bascule dans le néant, je balbutie d’ineptes promesses,
L’oppressante présence de ton absence me déchire.
Ma rêverie se brise au creux du miroir, je vole en éclats,
Mon rêve s’émiette, triste et vain, il se perd dans l’infini moqueur.
Me voici veuve de cet impossible, je pleure de toi, ma belle éloignée.
Demeure le silence, simple et pur, et ce silence est toi, encore toi !

Contre toute raison.

Bilitis - Le 11 septembre 2004.

lundi, septembre 19, 2005

"Ma femme travaille cet après-midi avec sa professeur d'anglais, elle veut reprendre son travail, et elle a besoin de se perfectionner..."

Pamoison de saison...

Je suis votre servante...

Certitude de Sandra

Jeune femme douce et délicate recherche amie pour...

Sandra livrée à la science de Vera...

De Suède...

Sonorité de la sororité