Mère des jeux latins et des voluptés grecques, Lesbos, où les baisers languissants ou joyeux, Chauds comme les soleils, frais comme les pastèques, Font l'ornement des nuits et des jours glorieux, — Mère des jeux latins et des voluptés grecques
vendredi, août 19, 2005
Samantha, by Hélène
Un an après notre mariage, nous avons fait un voyage en Hollande. Je travaillais comme secrétaire chez Philips et il y avait des hollandais et j'avais fait une amie parmi ceux-ci. Une femme parce que les hommes ne demandaient qu'une seule chose: coucher! Si j'avais voulu, ils me seraient tous passés dessus. C'est elle qui m'avait prévenue. Un peu perdue de vivre à Paris avec des voisins qu'elle ne connaissait pas alors que son mari était resté en Hollande, elle avait fréquenté ses collègues venus comme elle de là-bas et ce qui devait arriver arriva. Elle avait trompé son mari et avait couché avec un premier, puis un second. Elle était gentille même si elle aurait pu être ma mère. A 44 ans, elle était avenante, blonde avec une forte poitrine et un beau sourire. Des mains douces aussi. Comme beaucoup de filles, j'avais joué les lesbiennes quand j'étais ado, ayant peur des garçons. On s'embrassait sur la bouche, on se caressait, on se masturbait ensemble. On comparait surtout l'évolution de notre corps. Les poils qui envahissaient nos dessous de bras et nos ventres, nos seins, la taille de nos aréoles, nos mamelons. Je me souviendrais toujours quand on étaient seules chez l'une ou l'autre, affalées sur les fauteuils ou les lits, jambes ouvertes, robe remontée sur le ventre, une copine à genoux entre nos cuisses qui nous léchait ou nous tripotait. Ou dans les douches au gymnase, toutes les quatre réunies sous le même jet d'eau, sein contre sein, ayant des attitudes de femmes tout en piaillant nos mots de gamines parce que c'était ce qu'on était quand même. Des gamines que notre corps en transformation permanente nous faisait oser, essayer, provoquer. Combien de fois avons-nous retiré nos soutifs avant d'aller voir les garçons, fières de voir nos poitrines tanguer sous nos T-shirts et ainsi les effrayer.
Kathrine habitait dans le nord de son pays, en Frise. Quand elle nous a invités, j'ai accepté tout de suite. Mon mari était moins sûr parce que j'étais enceinte de trois mois. On a profité du pont de l'Ascension. il faisait beau. Sur l'autoroute, on filait. J'étais alors la seule à avoir mon permis et on a passé la Belgique sans la voir, puis on est montés vers le nord. C'était un joli village dont je ne me rappelle plus le nom. Une belle maison sous la digue. Avec son mari, elle est sortie sur le seuil puis nous sommes entrés et nous avons fait connaissance avec le reste de la famille, une fille et deux fils de nos âges. Je n'avais jamais dit à Kathrine que j'étais enceinte mais dès qu'elle a été seule avec moi elle a posé sa main sur mon ventre et m'a traitée de cachottière.
Mais on n'a pas passé la nuit chez eux. Quand elle a dit qu'on allait prendre le bateau pour aller dans les îles j'ai eu un peu peur vu mon état, et j'avais bien raison. Il y avait de la houle, il nous a fallu plus d'une heure et on a débarqué dans une île de sable et au bout du chemin, il y avait un bungalow sur pilotis planté dans la dune. Il y avait une petite chambre pour nous, celle des enfants d'habitude. En fait c'était juste l'emplacement d'un lit qu'on rabat chaque soir pour dormir. Il y avait deux autres chambres et une grande pièce commune avec cuisine, là où les enfants de Kathrine ont dormi.
On entendait tout. Au milieu de la nuit, derrière la cloison, il y avait des gémissements et je me suis levée pour coller mon oreille et écouter. C'était bien la voix de mon amie et j'ai compris que son mari lui faisait l'amour. Je ne comprends qu'un peu de hollandais mais il y a des choses qui ne trompent pas. Le lendemain, au petit déjeuner, ils avaient des cernes sous les yeux. Kathrine m'a souri et j'ai compris qu'elle avait bien aimé. Plus tard, assis face à la mer pendant que mon mari s'initiait à la pèche avec le mari de Kathrine, elle m'a tout raconté, que ses frasques à paris c'était des broutilles, par manque... Elle m'avoua qu'elle aime se faire tripoter les seins et qu'elle-même aime se les tripoter. "Je suis une salope même si mon mari me pardonnerait s'il savait. Oh! hier au soir, il en avait plein les couilles... Faut que je change mon drap... Vous faites encore l'amour?"
J'ai répondu que oui et j'ai poussé mon ventre en avant parce que j'étais fière d'être enceinte. Oh! ce n'était pas énorme, beaucoup moins qu'au terme où je mettrais au monde un garçon de 4kg5 et qui m'avait fait un ballon si énorme que j'avais du mal à me déplacer. Non, jusqu'à présent, seuls mes seins révélaient ma grossesse et j'avais des aréoles immenses et sombres. Je soulevais ma brassière pour les montrer à Kathrine. Elle rit puis posa sa main sur mes seins.
- Tu ne devrais pas, tu sais! Je suis bisexuelle!
Je suis restée figée. C'était comme si elle m'avait dit qu'elle avait tué quelqu'un. A voir mon regard, elle a retiré sa main puis elle a continué :
- Tu sais, par ici, les filles commencent entre elles. Plus tard, elle s'accouplent avec des garçons! Ça n'a rien de terrible!
Je la regardais et j'avais du mal à la regarder dans les yeux. Je les baissais et je vis que sa lourde poitrine tirait son soutif vers le bas. Je ne pouvais pas avouer que moi aussi j'avais fait pareil. C'était trop difficile à sortir.
- Tu sais...
- Oui?
Je bafouillais :
- Ce n'est pas... moi aussi j'ai fait ça...
Ça sortait enfin de ma bouche :
- C'est que tu t'affiches bisexuelle... Ça veut dire que tu continues à voir des femmes?
- Oui!
- Ton mari le sait?
- Il l'a toujours su. Et puis, sais-tu, c'est lui qui dit si je peux ou pas...
- Il les choisit?
Kathrine s'est mise à rire et à continué :
- C'est souvent ses anciennes maîtresses, je le sais. Quand on fait l'amour, il ne peut pas s'empêcher de rôder devant la porte de la chambre. Parfois, il vient avec nous, mais ce qu'il préfère c'est nous regarder.
- Ça t'excite?
- Oui!
Nous étions tournées l'une vers l'autre et une indéfinissable sensation m'avait prise. C'est sans réaction qu'elle m'a embrassée sur la bouche et sa langue s'est enroulée autour de la mienne. C'était divin. Je n'avais pas réalisé que ses mains me caressaient et j'ai ouvert les cuisses tout naturellement. Sans être pédante je dirais que je voyais bien que c'était une femme expérimentée. C'était imparable et je n'y pouvais rien. Mon plaisir m'envahissait, montait. J'ai joui dans ses doigts.
Quand j'ai rouvert les yeux, elle avait encore la main posée à l'intérieur de mes cuisses et elle caressait du bout des doigts mon clito. Elle avait un regard amoureux.
- Petite cochonne!
Je n'ai rien répondu. Pendant qu'elle m'essuyait avec son mouchoir, je pensais que si elle avait voulu, à Paris, j'aurai pu... Folie. Comment auraje pu alors que j'avais un si tendre mari et que j'étais jeune mariée! Je me lançais :
- Pourquoi maintenant?
- Pourquoi maintenant, répéta Kathrine? Dès que je t'ai vue, j'ai toujours eu envie de toi, mais je n'ai jamais osé. Aller avec les autres ce n'a jamais été un problème. Mais toi... j'aurai eu l'impression de briser une statue.
Elle avait posé ses mains sur ses genoux relevés et regardait, comme perdue, vers la mer.Je lui ai pris sa main dans la mienne et j'ai serré mes cuisses dessus. Kathrine semblait vraiment, comment dirais-je? bouleversée.
- Tu sais, si tu veux, ce n'est pas un problème. Après tout, moi, je veux bien!
Kathrine ne répondit rien mais retira sa main et la posa sur mon épaule.
- Je suis amoureuse de toi depuis que je t'ai vue! Voilà! On ne sera jamais toutes les deux. Il y aura toujours les autres, nos maris...
Et c'est à ce moment que ses enfants ont surgi, le long du rivage et nous ont appelés. Ce n'était plus possible et il nous fallait jouer à nouveau le rôle d'épouses.
On marchait derrière eux dans la dune. Kathrine me prit par le bras:
- C'est bête! Maintenant qu'on peut se marier ici, en Hollande. J'aimerai vivre avec toi.
Avertissement
Les récits publiés sur "Les Baisers de Daphné et Hippolyte" le sont avec l'aimable autorisation de l'auteure (ou de l'auteur !). Certains peuvent avoir déjà été publiées sur d'autres sites, mais leur valeur a suscité le désir et le plaisir de les republier ici. Les propositions peuvent être adressées à Sappho Lit, à passionlezlove@yahoo.fr.
Samantha, II
Le soir, après avoir suivi le coucher de soleil sur la plage, on est rentrés se coucher. Soudain, dans la petite chambre avec mon mari, j'ai eu envie de faire l'amour et mon mari m'a seriné à l'oreille qu'on ne pouvait pas, que tout le monde allait nous entendre. Je lui ai répondu que s'il ne me prenait pas, je le quittais. Et on a fait l'amour dans le silence. Ça me faisait mal de retenir mes cris, mais je me suis tu et j'ai laissé monter mon orgasme sans dire mot. J'en avais plein les cuisses et je me suis essuyé avec le coin du drap en pensant à Kathrine, à ce qu'elle m'avait avoué et ce que nous avions fait. Je n'étais pas encore prête pour ça.
Le lendemain, on nous a annoncé que nous allions passer ce samedi à l'autre bout de l'île et nous avons emmené le pique-nique et marché près d'un kilomètres. Là, c'était la surprise. Plus de maillot de bain! Tout le monde était nu. Kathrine m'expliqua que s'il y avait des plages et des camps naturistes, les gens préféraient ces petites plages où tout le monde se connaît. Mon mari fit la tête mais finit par nous accompagner. C'était comme la liberté, enfin, conquise. Du plus jeune au plus beau, ils étaient tous beaux. Peu importe la taille des poitrines et des verges. Il y en avait qui bandaient. Et quand à midi, Kathrine a saisi la saucisse et l'a coupée, elle m'a lancé un coup d'oeil. Je ne sais pas si j'avais compris mais plus tard, dans l'eau, quand elle a nagé près de moi, elle m'a demandé si j'avais déjà fait l'amour avec un godemiché.
- Bouh! t'es folle!
- Ah! tu ne sais pas ce que c'est!
J'avais soudain un doute. Ce coup d'oeil... Elle continua :
- Tu n'as connu que ton petit mari?
- Oui!
- Alors, tu ne connais rien!
- Que veux-tu dire? La saucisse?
- Oui, je m'en suis déjà fourrée une!
- Pas celle-là?
- Non, j'ai pas eu le temps, mais j'aurai bien voulu!
On fit quelques brasses puis on s'est arrêtées sur une butte où on avait pied. Kathrine me prit tout de suite la main et la posa sur sa poitrine;
- Caresse-moi!
J'avais plutôt envie de l'embrasser sur la bouche mais elle avait porté sa main sur ma hanche et ses doigts descendaient le long de ma fesse.
- Tu es toute belle!
Et là j'ai senti qu'elle m'avait enfoncé un doigt dans l'anus et j'ai planté mes ongles dans son sein et tout s'est enchaîné. Son autre main est venue sous mon ventre et c'est mon con qui a reçu son doigt et je me suis sentie verrouillée. Et incapable de m'en empêcher. et de planter mes ongles dans sa forte poitrine avec le désir de l'embrasser sur la bouche. Comme elle savait y faire! Et la mayonnaise montait, montait et une nouvelle fois j'ai joui dans ses doigts.
Kathrine jubilait :
- Ça sera comme ça tous les jours! Tu seras ma fille de joie!
Et là, elle a mis ses mains autour de mon cou et m'a embrassée sur la bouche. On a fini sous l'eau, sans témoin, à mourir d'étouffement. En revenant au rivage, elle me tenait la main et répétait qu'on allait se marier. Oh! oui, je pensais. Ma poitrine était prête à éclater sous le désir et mon con débordait d'enflement sur mes cuisses et me gênait pour marcher. On remontait vers notre "campement" et ce que j'ai vu m'a soufflée : Assis sur sa serviette, son fils aimé bandait et se caressait un tant soit peu et en face de lui, une jolie blonde aux seins en poire le regardait. Kathrine avait vu elle aussi et se pencha sur mon oreille pour me dite que son fils avait besoin de baiser.
- Ne fait pas attention!
Kathrine m'essuya et en profita pour me caresser à nouveau et me faire des propositions comme de me sucer les mamelons et ajouta même qu'elle me téterait quand j'aurai accouché. Et puis son fils, suivi de la blonde, s'est levé et ils se sont enfoncés dans les dunes. Un quart d'heure plus tard, ils sont revenus et il s'est assis à côté d'elle. A voir la forme de ses seins, j'ai vu qu'elle avait eu un orgasme; La fille était à peine à quatre mètres de nous. Elle griffonnait sur un papier son numéro de téléphone où je ne sais quoi. Katherine se pencha vers moi :
- Je crois que ce n'est pas la première, mais ils vont bien ensemble, non?
Je ne répondis pas. J'avais trop de choses à assimiler sans compter la proposition de Kathrine. Ça faisait beaucoup de choses à penser. Si je divorçais, ma famille serait catastrophée. Si je... Le corps bourré d'hormones, je ne me retrouvais plus. Demain matin on partait et on faisait une escale à Amsterdam pour la nuit. Mon dieu, quitter Katherine... On se reverrait à Paris. Dans quel état je serais?
On rentrait au bungalow. Toutes les deux, nous marchions en arrière et on tentait de se tenir par la main autant qu'on pouvait que nous étions sous la menace d'être vues par mon mari. Cette nuit-là, sa bite ne me fit rien. Il me remplit de son foutre, Je lui dis que j'avais joui. J'étais un peu dégoûtée et je ne savais quoi penser. Dans le bateau j'ai vomi. On s'est quittés sans effusions.
Samantha, III
Amsterdam.
Kathrine m'avait dit qu'il y avait mieux que des oignions de tulipe à ramener. Il nous suffisait d'aller dans ces boutiques innombrables qu'on trouvait le long des quais.
Sex Shop. Il y en avait un dans notre rue avec les vitrines voilées d'un grand rideau noir. Ici, tout était en vitrine, comme les filles. Mon mari s'attarda devant une boutique et moi j'en avais vu assez et j'allais vers la suivante quand une fille m'a interpellée :
- Dutsch? French? English? German?
- French!
- Viens, chérie, faire l'amour avec moi!
- Moi?
- Oui, toi, on est des filles toutes les deux, tu n'as pas à avoir peur!
Mais mon mari m'avait rattrapé et me tirait par le coude.
- Qu'est-ce qu'elle te disait?
- Elle voulait faire l'amour avec moi!
- Ah! C'est dégoûtant! Entre filles...
- T'aimerais pas?
- Oh! Non!
- Tu préfères me baiser?
- Oui! C'est naturel, non?
- Si j'en avais envie?
- Tu n'aurais pas l'idée de faire l'amour avec une femme quand même?
- Non, mais si je voulais?
- C'est dégueulasse de dire ça! Si tu le faisait, je divorcerais!
- Rassure-toi!
Je voyais bien que mon mari tremblait de rage à li'idée de me voir dans les bras d'une femme. S'il savait ce que j'avais fait avec Kathrine. Je lui avais pourtant raconté ce qu'on faisait entre filles, au collège, mais il n'avait pas voulu entendre s'il avait écouté. D'ailleurs, je n'avais pas pu lui faire parler de sa vie sexuelle avant moi. Il m'avait dit qu'il était vierge, mais la souplesse de son prépuce me faisait penser qu'il avait dû beaucoup pratiquer ou du moins beaucoup se masturber. En roulant, j'avais pensé au con de mon amie et ses petites lèvres qui pendaient telles des steaks entre les grandes. Mon dieu, que ce devait être agréable à sucer, à les mordiller, à boire le jus de son plaisir...
Mon mari me tira par le coude et me ramena à ce pourquoi nous étions sur ce quai. Il était plutôt nerveux :
- C'est elle qui t'a mis cette idée dans la tête!
- Qu'est-ce que tu veux dire?
- Je veux dire que tu veux t'acheter un de ces trucs-là pour te faire l'amour toute seule!
- Tu es fou! C'est juste pour nous amuser tous les deux!
- Tous les deux? Je ne te baise pas assez?
- Je ne me suis jamais refusée!
- Non! Mais j'ai toujours l'impression que tu n'en as jamais assez!
Vous nous auriez vus tous les deux sur le quai, devant la boutique. Cela devenait véhément. Je laissais vociférer mon mari et je regardais les jouets. C'était bien imités. Il savaient fait une sorte d'histogramme, du plus petit au plus grand. J'étais songeuse. Comment une femme pouvait-elle s'enfiler celui-ci, le plus grand, qui était plus large que mon poing! Une matière transparente, une parfaite imitation d'un sexe réel, mais démesuré.
Samantha, IV
Je songeais mais un couple est sorti de la boutique, jeunes tous les deux. La fille avait un paquet dans les bras et en passant devant nous, elle a ouvert son paquet et en a sorti à demi le même godemiché que dans la boutique, le plus gros, celui qui m'avait fait rêver. Elle parlait en je ne sais quoi et je n'ai pas compris ce qu'elle disait mais ils riaient tous les deux. Elle était blonde et fine et ils se tenaient par le bras en s'en allant le long du quai. Pour nous c'était terminé et mon mari était déjà assis dans la voiture. On et rentrés à Paris. Kathrine, je l'ai revue au bureau. Souriante, avenante, amoureuse. Elle m'appela pour que j'aille dans son bureau et on s'est donné un long baiser tout en se pétrissant le corps. Elle me rappela ce qu'elle m'avait offert et je lui dis que j'y avais pensé mais que... Pendant quelques semaines je résistais. A la maison, mon mari ne me faisait plus l'amour, prétextant mon état et tout me porta vers Kathrine. Un soir, je suis rentrée avec elle et je l'ai suivie dans son appartement. C'était divin, comme une révélation. On dit qu'on nait homosexuel, mais pour moi c'était comme un nouveau besoin. J'étais bien avec elle. On s'embrassait sur la bouche et on se faisait des caresses. On s'est mises nues et on s'est aimées sur le tapis. Au fil des jours, c'est devenu plus serein. Il nous suffisait de s'embrasser sur les lèvres pour savoir qu'on s'aimait. Et quand elle s'agenouillait ce n'était plus que pour embrasser mon énorme ventre et ma future fille est devenue la sienne. Et je n'aspirais plus qu'à leur donner mon lait. Avec mon mari ce n'était plus qu'un va et vient. Il ne me demandait plus pourquoi je rentrais si tard et si je rentrais c'était pour ne pas lui donner raison. C'est là qu'il a commencé par me traiter de salope. Mal lui en a pris de m'insulter dans un restaurant où je dînais avec une autre amie.
- Salope! Je t'ai surprise! Je demande le divorce!
Forcément il s'était trompé et j'ai tremblé à l'idée qu'il aurait pu savoir que c'était Kathrine ma maîtresse. J'étais enceinte de huit mois quand on est passés devant le juge. Sa preuve n'en était pas une. Il déclara que mon enfant n'était pas de lui et...
Samantha, V, the end
Kathrine a rompu son contrat et je suis toute de suite venue vivre avec elle à Amsterdam. Elle a commencé à prendre soin de moi. La seule chose que j'avais à faire était de faire l'amour avec elle, avec mon gros ventre et mes seins pleins de lait. Et j'ai accouché de ma fille, chez nous. Une belle petite fille nommée Lisa qui ne saura jamais que son père est un connard que j'avais épousé. Il y a quelques mois, avec Kathrine nous nous sommes mariées et maintenant je suis sa femme et elle est... ma femme! Sur notre porte, il y a une plaque où est marqué : Sam et Kathy M... Je ne vous dirais pas le nom. Sam c'est pour Samantha, le prénom que m'ont donné mes parents. Ils savent que je suis divorcée mais ignore mon nouvel état.
Je sais maintenant pourquoi j'avais envie d'un godemiché. Elle se harnache et me prend en levrette et sous elle je jouis comme je n'ai jamais joui.
Il y a une chose de nouveau : Nous cherchons un mâle pour me féconder à nouveau, un mâle qui ne me possédera qu'une fois, sous les yeux de ma partenaire. Elle veut ça, pour choisir le père même si c'est elle qui le sera. C'est fou ce qu'on a des amies dans le milieu lesbien. Le week-end dernier, il y avait une petite brune avec qui nous avons fait l'amour toutes les deux, une petite brune qui sera pour nous une soubrette et qui m'aidera à m'occuper des bébés et pour beaucoup de choses aussi. Elle a des seins merveilleux, en poire, durs comme des obus!
jeudi, août 18, 2005
Alter Ego; un extrait (récit de Bilitis)
La suite se déroula très vite, comme en un rêve.
– Delphine vous ramène ? questionna-t-elle.
– Euh !… en principe oui, mais…
Sans transition, elle se pencha par-dessus mon épaule
et laissant sans doute à dessein sa volumineuse
poitrine effleurer mes épaules, s’adressa à Delphine
qui terminait un rire chevalin :
– Delphine ! Je suis crevée, je rentre. J’ai fait
connaissance avec ta copine, je passe devant chez
elle, je la dépose, o.k. ?
– Euh… oui, oui, bien sûr... Dominique ?… ça ne te
fait rien si…
– T’en fais pas pour moi ! fis-je, trop heureuse de me
laisser embarquer. Je profite du lift, j’ai envie de
rentrer, tu ne m’en veux pas ?
– Mais bien sûr que non. Allez, ciao !
Après un rapide échange de bisous, la blonde et moi
quittions en hâte le bistrot enfumé et bruyant. Nous
fîmes quelques pas dans un silence que je n’osai
rompre, pour ne pas briser le charme étrange qui
s’était installé entre nous. Marchant légèrement en
retrait de la pulpeuse créature, j’appréciai le délié
de sa démarche, sa souplesse, sa grâce.
– Dominique, hein ? fit-elle alors que nous arpentions
le trottoir vers sa voiture.
– Oui. Et… et vous ? questionnai-je, toute intimidée
encore.
– Caroline !… Ah ! voilà ma voiture.
Elle s’arrêta à hauteur d’une petite Honda qui
accusait son âge, débloqua les portières et m’invita à
y pénétrer. Elle s’assit derrière le volant, y posa
les mains, s’immobilisa et ferma les yeux. J’étais
désemparée, ne sachant trop que faire, intriguée par
ce comportement surprenant.
Caroline semblait m’inviter à prendre l’initiative, en
contradiction avec la façon dont, quelques minutes
plus tôt, elle avait conduit toute l’affaire.
Je remarquai que sa poitrine se soulevait à un rythme
accéléré et que son souffle était court, révélant une
excitation certaine. Sans doute était-elle en train de
rassembler ses esprits.
Avec une infinie délicatesse, je posai une main
incertaine sur sa cuisse dénudée, juste au-dessus du
genou. La chair était douce, ferme et chaude.
Sa respiration s’interrompit un bref instant, me
laissant deviner l’effet que ce contact avait du lui
faire. Très lentement, j’affirmai ma prise, augmentant
la pression de mes doigts sur la chair soyeuse.
Toujours rivée à son volant, les yeux clos, le souffle
court, Caroline écarta insensiblement les cuisses et
bascula légèrement son bassin vers l’avant : elle
s’ouvrait, à mon grand émoi. Ainsi encouragée, ma main
entreprit une lente progression vers l’entrejambe qui
s’offrait. Je pris un vif plaisir à promener ma main,
au large ouverte sur la cuisse aplatie sur le siège.
Je palpai la chair consentante, différant l’intrusion
attendue.
Caroline écarta alors résolument les cuisses, écrasant
ses jambes sur le cuir rigide, bandant ses muscles,
pointant son pubis vers l’avant.
Sa bouche s’entrouvrit et sa tête bascula vers
l’arrière tandis que son souffle se fit plus bruyant,
plus rapide. Elle se cambra soudain,
faisant saillir sa poitrine pendant que ses mains,
délaissant le volant, se mirent à pétrir ses seins en
de larges mouvements tournants.
La bouche au large ouverte, elle semblait chercher
l’air, lançant la tête à gauche et à droite en un
mouvement incontrôlé.
N’y tenant plus, je délaissai ma progression sur sa
cuisse et, m’emparant de son visage à deux mains, lui
baisai goulûment les lèvres.
Nos langues se trouvèrent aussitôt, entamèrent une
folle course poursuite, se sucèrent, se mordillèrent,
s’arrêtèrent un instant pour se lécher lentement et
longuement avant de reprendre leur course effrénée.
Pour l’embrasser, je m’étais à demi couchée sur elle,
plantant un genou sur mon siège.
Je sentis ses mains s’emparer fermement de mes fesses
et se mettre à les malaxer vigoureusement. Elle
m’attira sur elle, forçant nos corps à entrer en
contact étroit. Elle ouvrit soudain les yeux et, comme
revenant à elle, me repoussa légèrement pour me
regarder avec intensité.
– Je… je ne sais pas ce qui m’arrive, murmura-t-elle
d’une petite voix tremblante, comme si elle avait mal
quelque part.
Je vis les ailes de son nez palpiter. Il me sembla
qu’elle attendait quelque chose. Sans réfléchir, je
m’emparai de ses seins et les écrasai l’un sur
l’autre, ce qui lui arracha une sorte de sanglot. Leur
taille était impressionnante, ils étaient denses,
souples et fermes, ils frémissaient, c’était
bouleversant.
J’enfonçai résolument mes mains dans cette chair
offerte et palpitante qu’elle me tendait.
– Oui, vas-y, fit-elle, continue.
Je ne me fis pas prier et me mis à lui malaxer
vigoureusement la poitrine, y prenant un plaisir
intense. Elle me fixait, grave, affichant une
expression presque douloureuse. Ses seins, chauds et
vibrants, semblaient chercher à remplir mes mains.
C’était hallucinant d’intensité.
Brusquement, la voiture se mit à trembler et le moteur
partit. Caroline venait d’actionner le démarreur.
– Assieds-toi ! intima-t-elle.
Alter Ego, la suite
Je n’eus que le temps de me rasseoir à peu près
correctement. La petite voiture bondit en avant. Je
devinai qu’elle nous emmenait chez elle, ce qui me
convenait à merveille. Jamais je n’aurais imaginé,
quelques heures plus tôt, que je connaîtrais une telle
joie. De temps à autres, lorsque la circulation,
fluide à cette heure avancée, l’y autorisait, Caroline
m’adressait de longs regards enfiévrés. Nous étions
toutes les deux drôlement excitées !
Je replongeai hardiment la main dans l’entrejambes de
Caroline qui semblait n’attendre que ça. Elle écarta
aussitôt les cuisses, autant que le permettait
l’exiguïté du véhicule. Je sentis ses muscles se
raidir sous ma caresse. Je pris un plaisir ineffable à
laisser errer ma main sur l’intérieur de sa cuisse
qui, écrasée sur le fauteuil, formait une courbe
harmonieuse. Je ne me lassai pas de la regarder. Je
poussai plus avant mon investigation : la petite
culotte était trempée, ce qui n’était guère de nature à me
surprendre. Écartant délicatement le slip tout maculé,
je promenai un instant mon doigt sur la toison avant
de plonger dans l’orifice béant. Je cherchai le
clitoris que je découvris tout gonflé, dressé, raide
et juteux. Je me mis à le titiller nerveusement.
– A… arrête ! fit-elle. Je… je vais… c’est…
Brusquement, elle referma les jambes, emprisonnant ma
main entre ses cuisses qu’elle serra comme un étau.
Elle s’empêchait de jouir.
Nous fîmes une embardée et je craignis qu’elle ne
perde le contrôle du véhicule mais, après un dernier
tournant, la voiture se rangea le long du trottoir.
Avant que j’aie pu réaliser ce qui se passait,
Caroline était sortie du véhicule et fonçait vers la
façade d’un immeuble tout proche. Je m’empressai de la
suivre. Lorsque je la rejoignis, la porte était déjà
ouverte ; elle m’attira à l’intérieur. Elle était
survoltée ! A peine refermée sur nous la porte de
l’ascenseur, elle m’embrassa sauvagement sur la bouche
tout en m’écrasant un sein d’une main et enserrant ma
vulve de l’autre. Je me délectai de cette douce
violence qui fit croître encore mon excitation. Je me cambrai
pour mieux m’offrir, écartai les cuisses pour
faciliter l’exploration de sa main en folie. J’étais
aux anges.
Nous sursautâmes lorsque l’ascenseur, à bout de
course, s’immobilisa dans un léger soubresaut. En un
clin d’œil nous fûmes à l’intérieur de son
appartement, exigu, mais coquettement arrangé et des
plus confortable. À l’évidence, Caroline appréciait la
douceur de vivre.
– Viens ! ordonna-t-elle d’une voix rauque.
Elle m’attira vers un large canapé recouvert de cuir
et, d’une bourrade, me força à m’y asseoir. Elle me
regarda d’un air étrange, comme angoissé, éperdu.
Elle se mit à soulever lentement son pull qu’elle
passa par-dessus ses épaules. Elle ne portait pas de
chemise. Je sentis une bouffée de chaleur me monter au
visage lorsque je découvris une superbe paire de seins
enfermés dans un soutien-gorge qui semblait avoir bien
du mal à les contenir.
Je n’arrivais pas à détacher mes yeux de ces superbes
rondeurs, j’étais en admiration, impatiente de
découvrir la poitrine dans sa somptueuse nudité.
De son côté, Caroline me mangeait des yeux, prenant un
plaisir intense au spectacle de mon admiration béate.
– Comment me trouves-tu ? fit-elle, sur un ton où,
curieusement, perçait une nette inquiétude.
– Qu’est-ce que tu es belle ! avouai-je, sans aucune
retenue.
Après avoir envoyé promener son pull dans un coin de
la pièce, Caroline entreprit de dégrafer son
soutien-gorge. Je faillis jouir sur le coup en
voyantbondir vers mon visage les deux melons libérés
de leur entrave. Elle avait des seins réellement
superbes : haut placés, d’un galbe et d’une rondeur
parfaits, tout gonflés de désir. Les globes se
terminaient par de larges aréoles légèrement
proéminentes, ce qui leur donnait l’aspect de fruits
mûrs.
Mes yeux éperdus parcouraient tout son buste, scrutant
ses formes magnifiques, longeant ces courbes divines,
plongeant dans la vallée profonde qui séparait ses
deux melons épanouis, admirant le dessin des côtes et
les courbes agréables d’un buste parfaitement
proportionné, d’un ventre plat et ferme.
Quelle beauté ! Pourtant, des seins, j’en avais vu, et
de beaux, mais ceux-là !... La perfection ! L’état
d’excitation dans lequel elle était avait fait de sa
poitrine deux obus brandis qui semblaient me viser.
– Caroline ! fis-je, éperdue, tu es superbe !... Je…
je crois que je n’ai jamais rencontré quelqu’un
d’aussi attirant, d’aussi…
Mue par une soudaine impulsion, je m’emparai d’un sein
et entrepris de le malaxer avec vigueur tandis que ma
bouche se mettait à téter le mamelon fièrement dressé
de l’autre globe.
Caroline gémissait de plaisir.
– Oh, oui ! fit-elle, exaltée, lèche-moi, lèche mes
seins, pelote-moi, pétris ma grosse poitrine… gifle
mes seins, suce-les… mords mes gros seins, ça
m’excite… j’adore ça !
Alter Ego, III, suite et fin
Surexcitée, tant par ses propos que par le spectacle
de cette beauté qui s’offrait, j’obéis, léchant les
globes frémissants à grands coups de langue, tandis
que mes mains pétrissaient sa généreuse poitrine
qu’elle exhibait fièrement, la pointant dans ma
direction. Ses seins bandaient littéralement tant ils
étaient tendus vers mes caresses, tant ils aspiraient
à être triturés, malaxés, pétris. Elle poussa de
petits cris de souris lorsque je me mis à mordiller le
téton fièrement dressé au sommet de son aréole
épanouie. Je m’écartai ensuite et, rapprochant mes
paumes, écrasai ses seins l’un sur l’autre tout en
leur imprimant un large mouvement tournant. Caroline
se mit à haleter.
– Ah !… ah !… continue, ce que c’est bon ! Ah !… oui,
pelote-moi, pétris mes seins, écrase-les, ils sont à
toi ! Ah… j’adore !
Elle poussait tellement ses seins vers l’avant qu’elle
me fit reculer. Je heurtai du talon le bord du canapé
et perdis l’équilibre. Je me retrouvai assise au
milieu des coussins. Caroline se jeta sur moi,
m’enjamba prestement et vint écraser sa poitrine sur
mon visage qui disparut entre les deux globes
agressifs.
Elle se mit à me gifler au moyen de sa poitrine
qu’elle jetait de droite à gauche et de gauche à
droite. Ses seins étaient à la fois fermes dans leur
texture et d’une douceur incomparable. Les grands «
flic » flac » qui accompagnaient les délicieuses
gifles mammaires que m’infligeait Caroline, la douce
violence du contact de ces chaudes rotondités vibrantes,
l’excitation de ma partenaire, ses yeux à demi
révulsés, la rougeur de son visage, la forte odeur
poivrée qu’elle dégageait, tout cela provoqua en moi un
violent orgasme : je jouis comme une bête, me mordant
les lèvres pour ne pas hurler.
Éperdue, les oreilles bourdonnantes, je cherchai
vainement à attraper un téton au passage. Une fois
passé l’orage de mes sens, je me ressaisis et,
bloquant ses seins au moyen de mes mains, je mordis
franchement, à bouche grande ouverte, son sein droit
qui semblait me fixer d’un regard halluciné.
Caroline couina sur le coup puis, brusquement,
s’écarta. À son regard chaviré, je sus qu’elle était
en train de jouir, ce qui me bouleversa.
Elle demeura un instant comme suspendue, toute
congestionnée, puis se laissa retomber dans les
coussins à côté de moi.
– Attends, haleta-t-elle, s’efforçant de recouvrer son
clame, on va se reprendre un peu. Son regard demeurait
languissant, elle était écarlate, je fondais de
tendresse et de bonheur. Elle m’adressa un sourire
ravi, serein, heureux. Nous demeurâmes un instant,
pantelantes, à nous manger des yeux. Puis elle reprit
:
– Et toi ?… montre-toi !
mercredi, août 17, 2005
mardi, août 16, 2005
Cindy Bi, l'interview exclusive !
1 - Bonjour, Cindy...Bi. Bi, vous êtes donc une Bi, mais comment peut-on être et être autre chose encore ? Vous indiquez que vous vivez en ce moment avec une jeune femme; mais que vous n'en détestez pas les garçons... Pas facile, cela... Et si en plus, il vous arrive ou devez vous arriver de rencontrer des femmes qui vous attirent, vous feriez comment ? (je sais, il y a plusieurs questions en une, je triche...)
Réponse: Effectivement, c'est pas facile. Comme je suis bien comblé côté féminin par ma copine (nous sommes en couple) je ne fais que de petits flirts avec les filles qui m'intéressent. Pour ce qui est de mon beaoin de baiser avec des mecs, j'essai de me restreindre à un seul mec (pour des raisons de protection). Puis, j'ai une copine que je visite une ou deux fois par an. Comme elle est marié, ça ne pause pas de problème avec ma femme, mais ce qu'elle ne sait pas, c'est que nous baisons à trois lors de ses visites.
2 - Ce qui nous importe ici, c'est que vous nous disiez pourquoi vous êtes si bien avec une femme plutôt qu'avec un homme. Qu'est-ce que c'est que l'être et le plaisir lesbiens ? très chair...
Réponse: les femmes avec qui j,ai vécu m'ont apportés plus, ont enrichi ma personnalité. Les mecs m'ont endurcis, mais j'avais toujours à me battre. L'amour avec les femmes, c'est toujours passion, tendresse, délicatesse et comme je suis souvent le contraire, j'ai besoi quotidiennement d'une dose de cette douceur que je ne retrouve qu'avec les femmes. Enfin, les femmes parlent, il est donc normal que lebesoin de nous dire des mots d'amour ne s'effrite pas au fil des ans entre femmes. Toutefois, je ne suis pas totalement lesbienne car j'ai se besoin de rencontrer des mecs, d'un rapport plus fort, plus animal. Mais je suis très lesbienne lorsqu'en présence des femmes que j'aime.
3 - Du "corps" de votre amie (je suis désolée que pour parler d'une chose si belle et si complexe, le langage fasse un mot, "le corps", et c'est pourquoi je vous demande), qu'est-ce que vous aimez, titiller, caresser, toucher, ... ? Et elle pour vous ? Si mes questions sont indiscrètes, vous devez répondre quand même !
Réponse: J'aime le corps de ma femme en entier. Mais comme je fais une fixatio sur le cul et la chute de rein (chacune ses défauts et petites perversités), je peux passer des heures à m'occuper de ses fesses. Puis, je suis friande de petits seins, et ma copine a de très petits seins avec des bouts très prononcés, en fait, un vrai régal pour mes papilles gustatives. De mon coté, j'aime bien lorsque noussommes couché et qu'elle laisse glisser ses doigts sur mes fesses et mes cuisses. Et les petits bizous dans le cou me font frissonner et craquer.
Cindy Bi, suite et fin de l'interview exclusive !
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