Mère des jeux latins et des voluptés grecques, Lesbos, où les baisers languissants ou joyeux, Chauds comme les soleils, frais comme les pastèques, Font l'ornement des nuits et des jours glorieux, — Mère des jeux latins et des voluptés grecques
mercredi, octobre 12, 2005
Un moment pour faire naître le desir...
Le pied dans la chaussure, la main dans la culotte ? Par Romane
En passant devant ta boutique, j’avais remarqué une splendide paire de chaussures et une ravissante vendeuse. J’entrais dans la boutique, plus pour la ravissante vendeuse que pour la paire d’escarpin.
J’entrais alors dans la boutique et je fus accueilli par toi. Tu étais ravissante, mignonne et accueillante.
Je te montrais la paire qui me faisait tant plaisir. Tu me félicitas sur mon choix et partis dans les réserves chercher l’autre pied après m’avoir invité à m’asseoir dans le canapé.
Tu revins, tout souriante, et t’accroupis à mes pieds.
Involontairement ta jupe remonta sur tes belles cuisses gainées de soie. J’eus le temps de voir une mignonne petite culotte en dentelle blanche.
Tu rougis en te relevant afin de remettre ta jupe en place. Tu cherchais quelqu’un du regard, avec une légère angoisse, mais tu te calmas et repris ta position en retenant ta jupe.
Dommage, j’avais trouvé cela très mignon. Je te souris, un peu complice.
Moi je ne portais rien ce jour là sous ma jupe en daim. Alors que tu te concentrais à la mise en place de mes escarpins, j’ouvris légèrement mes cuisses. En relevant la tête, tu vis ce que je voulais t’offrir. Tu rougis à nouveau. Je te souriais encore plus de ta gêne.
Tu te relevas évitant mon regard.
-Voulez-vous marcher afin de voir si cela vous convient. »
Je me levais et marchais. Je fis exprès de trébucher. Tu volas à mon secours et me pris par la taille. Je frissonnais au contact de ta main sur ma hanche. Tu m’aidas à marcher un peu et dès que je sentais que tu allais me lâcher, je trébuchais à nouveau.
-Vous n’avez jamais porté de chaussure avec de si hauts talons. »
Si tu avais vu ma collection de chaussures.
-Non! »
-Je comprends. »
Il y avait une glace par terre en biais afin de se voir chaussé. On s’en approcha. Est-ce une chance, mais ce jour là, la glace avait un angle plus prononcé et nous trouvant suffisamment proche, j’eus à nouveau une belle vision sur ta culotte.
-Ravissant! » dis je.
-Oui, les chaussures sont très belles. »
-Je parlais de vous. »
Tu rougis à nouveau et finis par voir ce que je voyais dans la glace.
-Merci. »
-Je prends les chaussures. »
-Vous êtes sûre? »
Je posais une main discrète sur tes fesses et les caressais rapidement.
-Oui! »
Je me dirigeais alors vers mes affaires dans une démarche assurée. Ton regard me brûlait les fesses.
-A bientôt, » dis je en quittant la boutique après t’avoir adressé un clin d’œil.
Tu ne me quitta pas des yeux jusqu’à ce que je quitte la boutique.
lundi, octobre 10, 2005
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