jeudi, août 18, 2005

Alter Ego, III, suite et fin



Surexcitée, tant par ses propos que par le spectacle
de cette beauté qui s’offrait, j’obéis, léchant les
globes frémissants à grands coups de langue, tandis
que mes mains pétrissaient sa généreuse poitrine
qu’elle exhibait fièrement, la pointant dans ma
direction. Ses seins bandaient littéralement tant ils
étaient tendus vers mes caresses, tant ils aspiraient
à être triturés, malaxés, pétris. Elle poussa de
petits cris de souris lorsque je me mis à mordiller le
téton fièrement dressé au sommet de son aréole
épanouie. Je m’écartai ensuite et, rapprochant mes
paumes, écrasai ses seins l’un sur l’autre tout en
leur imprimant un large mouvement tournant. Caroline
se mit à haleter.

– Ah !… ah !… continue, ce que c’est bon ! Ah !… oui,
pelote-moi, pétris mes seins, écrase-les, ils sont à
toi ! Ah… j’adore !
Elle poussait tellement ses seins vers l’avant qu’elle
me fit reculer. Je heurtai du talon le bord du canapé
et perdis l’équilibre. Je me retrouvai assise au
milieu des coussins. Caroline se jeta sur moi,
m’enjamba prestement et vint écraser sa poitrine sur
mon visage qui disparut entre les deux globes
agressifs.
Elle se mit à me gifler au moyen de sa poitrine
qu’elle jetait de droite à gauche et de gauche à
droite. Ses seins étaient à la fois fermes dans leur
texture et d’une douceur incomparable. Les grands «
flic » flac » qui accompagnaient les délicieuses
gifles mammaires que m’infligeait Caroline, la douce
violence du contact de ces chaudes rotondités vibrantes,
l’excitation de ma partenaire, ses yeux à demi
révulsés, la rougeur de son visage, la forte odeur
poivrée qu’elle dégageait, tout cela provoqua en moi un
violent orgasme : je jouis comme une bête, me mordant
les lèvres pour ne pas hurler.

Éperdue, les oreilles bourdonnantes, je cherchai
vainement à attraper un téton au passage. Une fois
passé l’orage de mes sens, je me ressaisis et,
bloquant ses seins au moyen de mes mains, je mordis
franchement, à bouche grande ouverte, son sein droit
qui semblait me fixer d’un regard halluciné.
Caroline couina sur le coup puis, brusquement,
s’écarta. À son regard chaviré, je sus qu’elle était
en train de jouir, ce qui me bouleversa.
Elle demeura un instant comme suspendue, toute
congestionnée, puis se laissa retomber dans les
coussins à côté de moi.

– Attends, haleta-t-elle, s’efforçant de recouvrer son
clame, on va se reprendre un peu. Son regard demeurait
languissant, elle était écarlate, je fondais de
tendresse et de bonheur. Elle m’adressa un sourire
ravi, serein, heureux. Nous demeurâmes un instant,
pantelantes, à nous manger des yeux. Puis elle reprit
:
– Et toi ?… montre-toi !

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Oh mais oui ! lèche, suce, étire, mordille ! c si bon !

SapphoetBilitis a dit…

Gourmande affamée d'être dévorée !

Anonyme a dit…

Oui, et la roseur du visage qui trahit un trouble délicieux. J'imagine sans peine ce qu'elle doit ressentir sous la délicieuse caresse ! Je dirais même que... que je la partage ! Glurp !...

SapphoetBilitis a dit…

Et cette bouche ouverte qui avoue le bonheur ! sans un mot, le sentiment vrai !