mercredi, août 23, 2006

Initiation, II, par Marie-Jo

 



"Oui" dis-je un peu honteuse mais en même temps soulagée de ne pas devoir mentir plus longtemps
"J'aime bien que tu sois sincère !"
"Je me sens bien avec vous. Alors je ne peux pas vous mentir !"
"J'ai su que tu me regardais. Je me caressais déjà depuis un moment quand j'ai vu que tu te réveillais. Je me suis arrêtée un moment. Mais au lieu de bouger, de te retourner comme quelqu'un qui se réveille, tu es devenue encore plus immobile que pendant ton sommeil. J'ai compris que tu jouais les voyeuses. Le soleil avait déclenché mon excitation et tu la renforçais en me regardant. Alors j'ai continué. Pour toi et pour moi ! Je t'ai choquée ?"
"Non, pas du tout"
"Tu te caresses parfois ?"
"Celà m'arrive"
"Souvent ?"
Je ne répondis pas. J'avais été élevée avec l'image que la masturbation était un péché. Je savais que ce n'était pas vrai. Mais de là à aller crier sur tous les toits que je me masturbais au moins deux fois par jour, il y avait un pas. Je savais que toutes les filles le faisaient. Et que celles qui avaient un petit copain se laissaient caresser par lui. Mais, selon mon éducation, celà devait rester un secret.

Nous étions maintenant debout à l'endroit de faible profondeur. Elle était adossée à un bord, les coudes en arrière, posés sur le rebord, ce qui faisait ressortir ses seins. J'étais adossée à l'autre bord.
"Viens près de moi !"
Je plongeai sous l'eau pour ressortir à quelques centimètres d'elle. Elle passa ses bras autour de mon cou et m'attira tout contre son corps. J'en ressentis un frisson. Elle le remarqua.
"Je te fais tout cet effet ?"
"Je ne sais pas ..."
Je me faisais toute petite et j'avais ma tête dans ses seins. Je me sentais bien, à la fois protégée mais aussi avide de sensations. Ses deux mains quittèrent mon cou pour se poser sur mes seins et elle se mit à les caresser. En quelques secondes, j'avais les têtons tellement gonflés que j'en ressentais comme un tiraillement dans les seins. Elle les pinça ...
"Tu as une très jolie poitrine !"
Je me laissais faire. C'était agréable. Plus agréable que ce que j'avais ressenti avec des garçons. Puis sa main droite descendit sur mon ventre, passa rapidement sur mon pubis et se logea entre mes cuisses, D'un petit geste de la main, elle me fit écarter les jambes. Ses doigts glissèrent dans ma fente et trouvèrent rapidement mon clitoris. Je me mis aussitôt à gémir. Oh, que c'était bon ! Ses doigts passaient sur mon bouton avec une lenteur savante et l'instant d'après, ils dansaient autour. Mais à chaque fois qu'elle le prenait à la base et que ses doigts remontaient, l'emportant au passage, elle m'arrachait des cris de plaisir. J'avais fermé les yeux. J'allais jouir. Je le voulais. En même temps ses caresses étaient délicieuses et je ne voulais que celà s’arrête. Mais mon corps en décida autrement et je fus emportée dans un orgasme d'une intensité que je n'avais jamais atteinte lors de mes masturbations. Je me souviens que j'ai crié pendant de longues minutes, pendant que ses doigts continuaient leur danse sensuelle sur mon clito. Puis elle me souleva de l'eau et me déposa sur le rebord de la piscine. Elle me fît m'allonger pendant que mes mollets pendaient dans l'eau. Elle écarta mes jambes. A l'instant où sa bouche se posa sur mes lèvres, j'eus un second orgasme. Puis je sentis sa langue parcourir ma vulve à plusieurs reprises avant de s'insinuer entre mes lèvres. Dans les deux ou trois minutes qui suivirent, j'eus orgasme sur orgasme. Jamais je n'aurais imaginé, même dans mes rêves les plus chauds, qu'il était possible de jouir aussi longtemps. Annie se caressait pendant qu'elle me butinait et à plusieurs reprises elle m'accompagna dans l'orgasme. Je sentais qu'elle jouissait quand elle devenait un peu plus dure. Mais caresses douces ou un peu plus dures, je n'en avais cure. Elle me donnait du plaisir et je m'y abandonnais, avide de voir jusqu'où je pouvais aller.

Nous quittâmes la piscine. Il était près de seize heures.
"Mon mari ne va pas tarder à rentrer ... nous allons nous rhabiller !"
Nous montâmes à l'étage après nous être douchées et essuyées. Annie enfila un
t-shirt hyper moulant et une petite jupe style "country", très transparente. Elle me fît enlever le soutien que j’avais déjà mis et je me retrouvai donc avec un t-shirt moulant comme le sien, dont jaillissaient mes têtons, et un short très court qui découvrait le petit rebond de mes fesses. C'était limite incitation au viol.

Je dressai la table sur la terrasse pendant qu'Annie préparait le repas. Michel rentra vers dix-sept heure trente. Il alla se changer pour redescendre avec une chemise et un pantalon en lin, la chemise blanche, le pantalon beige. Je lui servis, comme Annie me l'avait suggéré, un Martini-vodka avec des glaçons.

Nous nous sommes installés à table, Michel à un bout, Annie à l'autre bout et moi sur un côté, entre-eux deux. Pendant tout le temps du repas, dans quelque position que je me mette, que je sois assise ou debout pour aller chercher une chose ou l'autre à la cuisine, quoique je dise ou qu'Annie dise, le regard de Michel revenait invariablement sur mes seins et sur les têtons qui rendaient le tissu du t-shirt plus transparent.

A la fin du repas, je demandai à Michel et Annie s'ils ne voyaient pas d'inconvéneint à ce que j'aille faire quelques dernières longueurs. Annie devança le problème.
"Viens avec moi" me dit-elle.
Nous montâmes au dressing et contrairement à ce matin, elle me trouva un bikini plus ou moins à ma taille.
"Je ne voudrais pas que Michel, excité par la vue d’une jolie fille comme toi, me saute dessus tout de suite !"

Lorsque je passai à côté de lui, Michel siffla d'admiration.
"Wow ! c'est bien Marie-jo ? la fille de nos amis ?"
"Oui, elle est belle, n'est-ce pas ?" dit Annie en me regardant puis en regardant son mari pour voir l’effet que je lui faisais.

Pendant que je nageais, Annie alla s'installer sur les genoux de son mari. Michel avait glissé une main sous le t-shirt et caressait les seins de sa femme. De temps en temps, ils échangeait un long baiser passionné et je crois qu'elle lui caressait le sexe au travers de l'étoffe du pantalon. Je les regardais avec une certaine jalousie, une certaine rancoeur. Cet après-midi, elle me caressait et maintenant elle se laissait tripoter par son homme et elle lui montrait qu'elle aimait cela ! Je quittai la piscine, embrassai Michel un tantinet sensuellement mais mon baiser sur la joue d'Annie fût très bref.

Cette nuit-là, je les entendis faire l'amour et j'en ressenti un immense chagrin. J'avais l'impression d'être trompée. Il ne faisait aucun doute qu'ils s'aimaient. Elle et moi, c'était donc du cinéma ! Je m'endormis difficillement.

Le lendemain, je me suis réveillée assez tard. Michel, bien sûr, était parti. Mais Annie aussi. Elle avait laissé un petit mot sur la table de la cuisine: <>

J'avalai en vitesse un bol de musli et une tasse de café. Je fis quelques longueurs mais j'étais très fatiguée. Etait-ce le fait d'avoir mal dormi ? ou la succession des orgasmes de la veille après-midi ? peut-être les deux ? Je décidai de faire bronzette.

Annie rentra vers midi, comme prévu. Elle vint directement vers moi pour m'embrasser mais je n'avais pas envie de me montrer gentille avec elle. Elle le remarqua ...

"Qu'y a-t-il, ma petite chérie ?"
Les pensées s'entre-choquaient dns ma tête. Elle s'amusait avec moi, elle faisait l'amour avec son mari et elle finissait quant même par m'appeler "ma petite chérie"
"Tu es fâchée ?"
"Je vous ai entendu faire l'amour !"
"Oui, et alors ? c'est normal qu'un homme et une femme fasse l'amour, non ?"
"Et moi ?"
"Quoi ? "et moi ?""
"Vous ne m'aimez pas !"
"Bien sûr que je t'aime ! comment aurai-je pu te caresser et t'embrasser si je ne t'aimais pas ? mais je suis bisexuelle ce qui veut dire que j'aime les hommes et les femmes. Toi aussi d'ailleurs ! Maintenant si tu t'attends à ce que je cesse d'aimer Michel pour faire l'amour avec toi, alors il vaut mieux arrêter tout de suite ! C'est ce que tu veux ?"

Les pensées continuaient leur ronde folle dans ma tête. Je pense que j'étais amoureuse d'Annie. Et comme toute fille de seize ans qui devient amoureuse, je ne voulais pas partager. Mais j'avais aussi l'impression qu'il était normal pour une femme de vivre avec un homme. Et puis je voulais continuer à vivre les moments d'extase qu'elle m'avait fait découvrir la veille. Alors, je lui dit:
"Excuse-moi Annie ! je crois que je vais comprendre mais il faut être patiente avec moi. Tout ceci est nouveau pour moi"
"Pour moi aussi, tu sais ! je n'ai jamais tenu une fille de seize ans dans mes bras. J'ai eu quelques aventures avec des femmes mais elles avaient mon âge. Entre dix-huit ans et dix-neuf ans, ta maman et moi avons fait l'amour plusieurs fois. Mais cela s'est vite arrêté car ta maman considérait que c'était interdit de se toucher entre filles ! et pourtant, je sais de qui tu tiens le fait de gémir et de crier comme tu le fais quand tu jouis ...". J'essayais de me représenter ma mère, si prude, en train de faire l'amour avec une autre femme. Je ne l'avais même jamais vue échanger un baiser avec mon père !

Tout en parlant, elle s'était rapprochée de moi, son visage à vingt centimètre du mien. Elle passa un main sous mon cou, souleva légèrement ma tête et sa bouche rejoignit la mienne. Sa langue força le passage de mes lèvres et nos deux langues s'enroulèrent l'une sur l'autre pendant quelques minutes. Sa main glissa entre mes cuisses. Je jouis rapidement, tellement fort que je ne pus retenir un sanglot.

"Tu vois", me dit Anna, "c'est comme celà que cà doit être ! on est bien, nous deux, à faire l'amour mais ce soir je le ferai aussi avec Michel. Et toi, tu feras peut-être l'amour avec un garçon quand tu seras rentrée chez toi"

Il ne se passa rien d'autre ce jour-là sauf que le soir, avant le repas, nous avons nagé nues toutes les deux. Devant Michel qui au bout de quelques minutes, nous rejoignit, nu également. Il avait un sexe beaucoup plus long que celui des garçons que j'avais fréquentés jusque là. J'aurais voulu le voir bander car je voulais mesurer l'effet que je lui faisais. Mais il resta sagement dans l'eau. Le soir, dans mon lit, je me suis masturbée en pensant à Annie mais aussi au sexe de Michel.

Quelques jours s'écoulèrent ainsi, entre la piscine, les séances de bronzage, les petites soirées sur la terrasse. Et Annie qui s'occupait de ma libido, qui me faisait jouir plusieurs fois par jour. J'y prenais de plus en plus de plaisir. Quand elle ne me touchait pas pendant quelques heures, j'en devenais nerveuse. Et j'allais l’aguicher, me «frotter» contre elle. Je savais qu'elle me trouvait belle et qu'elle avait envie de me caresser.

Un jour, ce devait être le septième jour, Annie me proposa un jeu !
"J'ai envie de me caresser et j'aimerais te voir te caresser ! tu veux bien ?"
Moi, je n'avais que deux envies: lui faire plaisir et jouir.

Nous nous installâmes chacun sur une chaise longue, assises face à face, les jambes largement écartées dans une attitude d'impudeur extrême. Annie menait la danse, une main sur le sexe, l'autre sur les seins. Nous nous regardions, les yeux dans les yeux. Je commençai par vouloir la copier en caressant mes seins comme elle le faisait. Mais je n'en retirai pas le plaisir escompté et mes deux mains se retrouvèrent rapidement sur mon sexe. Je jouis la première, sous le regard admiratif d'Annie. Elle prît alors mes mains et les posa sur sa chatte. Sa main sur la mienne, elle guidait les premières caresses que je donnais à une autre femme. Elle poussa sur mon index pour qu'il vienne toucher son clito. Je l'avais à peine touché qu'elle poussa un "ahhh" de plaisir.

"Caresse-moi s'il te plaît !"
J'avais compris qu'il me suffisait de faire comme si je me masturbais et comme elle avait fait les jours précédents, lorsqu'elle me caressait sans rien demander en retour. Elle écartait ses lèvres, découvrant les replis de son sexe et faisant ressortir son clito. Il apparaissait comme une perle blanche, sertie dans un repli de chair rose. La couleur de son intimité contrastait avec le bronzage de ses lèvres. Son geste était vulgaire mais il ne me choquait pas. Je sentais qu'elle s'offrait à moi, qu'elle voulait être plus nue que nue. Elle s'allongea et je me laissai guider par ses gémissements. Tantôt, mes doigts glissaient autour de son clito et tantôt, ils poussaient la perle vers le haut comme pour la faire sortir de son écrin. Lorsque je faisais ressortir son clito, elle m'encourageait par des « oh oui, oh oui, oh oui » ... « tu caresses bien » ... « fais-moi jouir ». Elle m'attira sur elle. Nous étions seins contre seins. Nous échangions un long baiser. Elle gémisssait en m'embrassant et celà m'excitait. Mon excitation avait dû rendre mes caresses plus sensuelles car je la sentis se cambrer, puis elle me serra encore plus fort contre elle, se mît à pétrir mes seins avec fougue, sa langue roulait sur la mienne sans qu'elle arrête de gémir, ses cuisses se refermèrent sur mes mains, son corps tremblait, je continuais à titiller son clito et ses gémissements se transformèrent en cris. Mes doigts glissèrent de son clito pour plonger dans son sexe. Ceci aviva son orgasme. Elle secouait le corps de droite à gauche. J'étais déchaînée et elle aussi. Je voulais la faire jouir, encore et encore. Mais elle serrait les cuisses de plus en plus fort, à un point tel que je ne pouvais plus bouger un seul doigt. Alors je me mis à lui têter les seins et cette caresse l'appaisa. Elle prît ma tête sur ses seins et nous restâmes ainsi de longues minutes. Nous étions heureuses. Et moi j'étais fière d'avoir si bien réussi à donner du plaisir à une autre femme.

(à suivre, très vite ...) Posted by Picasa

mardi, août 22, 2006

Libertés egyptiennes et antiques !

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Initiation, I, Don de Marie-Jo

 Initiation
par Marie-Jo

L’amour au féminin

J'allais avoir seize ans lorsqu'une amie de ma mère m'a fait découvrir l'amour au féminin d’abord et m’a initiée à d’autres jeux érotiques. J'ai aujourd'hui quarante et un an. Je suis bisexuelle et libertine et j'assume cela avec aisance. Il ne fait aucun doute que je dois mon évolution et mon épanouissement sexuel aux moments que j'ai vécus avec cette femme, à ce qu'elle m'a fait découvrir. Je ne l'oublierai jamais. Elle a aujourd'hui soixante-six ans et j'aimerais la revoir.

Mais revenons à mes seize ans. J'étais la cadette d'une famille de trois enfants. La seule fille. Ma mère avait quarante et un an et mon père quarante-cinq. J'étais précoce sur tous les plans. J'étais une très bonne élève et je venais de terminer avec la mention "excellent" l'avant dernière année de lycée. J'étais assez grande pour mon âge et j'attirais le regard de beaucoup de garçons à cause de ma belle chevelure blonde et d'une poitrine assez développée. Je portais déjà du B+.

Les vacances s'annonçaient bien. Depuis la fin des examens, nous avions droit à un soleil radieux. Le seul problème était de s’occuper. Mon père et ma mère avaient décidé de ne pas partir en juillet-août. J’avais eu quelques propositions pour accompagner une amie et ses parents mais j’avais décliné. Je me renseignais sur des stages de tennis mais je n’avais encore rien décidé.

Vers la mi-juillet, ma mère invita un couple ami à venir dîner à la maison. Mon père prépara un BBQ. Je vis arriver une femme, très grande, blonde comme moi, portant une robe légère avec un profond décolleté. Suivie de son homme, lui aussi grand et distingué. Elle était habillée très "sexy", ce qui contrastait avec les tenues assez classiques que portait toujours ma mère. Je regardais mon père et ses yeux qui plongeaient vingt fois par minute dans le décolleté de notre invitée. Et ma mère qui semblait ne pas le remarquer. J'étais fascinée par le charme et l’aisance de cette femme. Chaque fois que mon regard croisait le sien, elle me souriait et je lui répondais par mon plus beau sourire. Je me disais que je voudrais, en grandissant, lui ressembler. D'après ce que ma mère m'avait dit, notre invitée et elle avaient grandi ensemble et elles étaient restées en contact pendant de nombreuses années puis, faute de temps, elles avaient cessé de s'appeler. Aux vacances, elles s'envoyaient une carte. Et puis, quelques mois avant ce BBQ, ma mère avait pris l'initiative de lui téléphoner. C'est de ce contact que résultait la rencontre de ce jour. Nos deux invités s'appelaient Annie et Michel.

Dans la conversation, j'avais compris qu'Annie et Michel habitaient à une trentaine de kilomètres de mes parents, qu'ils avaient une jolie villa à la campagne avec une piscine. Qu'ils n'avaient pas pu avoir d'enfant.

Peu avant la fin du repas, Annie demanda à ma mère si je partais en camp avec les guides. Je répondis moi-même que non. Elle me demanda alors ce que je comptais faire pendant les deux mois de vacances, enfin, le mois et demi qui restait ? Je lui répondis que c'était un point auquel je n'avais pas encore réfléchi. Elle me demanda aussi si j'aimais nager. Avec un grand sourire -car je devinais la proposition qui allait suivre- je lui répondis que j'adorais nager, que j'étais capable de rester une journée entière dans l'eau, que ce soit en piscine ou à la mer. Ce à quoi Annie répondit que je pouvais venir chez eux quand je voulais, pour profiter de la piscine.
"C'est très gentil de votre part" lui dis-je, "mais je n'ai que 16 ans, je ne conduis pas encore et celà m'étonnerait que maman me laisse aller jusque chez vous en mobylette !"
"Mais ton papa peut t'emmener le matin et te reprendre le soir ... ou quelques soirs plus tard"
Alors maman intervint pour signaler que papa allait partir 10 jours aux States pour le travail.
"Et pourquoi ne reviendrais-tu pas avec nous ce soir ? Et ta maman viendra te rechercher d'ici quelques jours !"
Je regardai ma mère. Mes yeux lui demandaient d'acquiescer. Pour la forme, elle demanda "mais celà ne vous dérange pas ?" mais sans attendre la réponse, elle ajouta "Vous ne pourriez pas faire plus plaisir à Marie-jo que de la laisser nager pendant une journée entière ! Elle est Scorpion mais elle aurait dû être Poisson !"


Je n'attendis pas plus longtemps, je montai dans ma chambre pour rassembler quelques vêtements.

Vers 23 heures, Annie et Michel prirent congé de mes parents. Entre-temps, mon séjour s'était allongé et j'attendrais chez eux le retour de mon père. Maman et papa passeraient me rechercher dans une dizaine de jours. Annie ajouta "on se fera un petit BBQ ... si le temps le permet".

En arrivant chez eux, peu avant minuit, ils me firent faire un petit tour de la maison. Puis ils allèrent me montrer la piscine qu'ils illuminèrent pour la circonstance. Je leur dis que j'avais envie de plonger mais Annie répondit «maintenant on va aller dormir. Demain ne te lève pas trop tard, on déjeunera tôt et on sera dans l'eau avant 10 heures !». Quelques heures pour dormir, et je serais dans l'eau ! Ils m'installèrent au premier étage, dans la chambre d'amis située en face de la leur. Je regrettais un peu de n'avoir pas la vue sur la piscine mais je comprenais qu'ils se soient réservés cette vue.

Le lendemain, je me levai vers 8 heures et je descendis. Annie, qui était déjà dans la cuisine, m'annonça que Michel était déjà parti au travail mais qu'elle m'avait attendu pour prendre le petit déjeuner. Elle me demanda d'aller mettre la table sur la terrasse et pour cela, elle m'indiqua où étaient les assiettes, les tasses, les verres et les couverts.
« Café, thé, chocolat, ... ? »
« Café ! » lui répondis-je.
« Comme moi ! ce sera plus simple ! »

J'avais hâte d'être dans la piscine et je pris le petit déjeûner en vitesse. Je crois qu'il m'avait fallu moins de 10 minutes pour avaler trois tartines et deux grandes tasses de café.
"On voit que tu es pressée d’être d'être dans l'eau !"
"Oui"
"Alors, va vite te changer !"
Je grimpai les escaliers quatre à quatre mais avant même d'arriver à ma chambre, je découvris qu'il y avait un énorme problème. Dans ma précipitation de la veille, j'avais oublié de prendre un maillot. Que faire ? Je redescendis pour annoncer la mauvaise nouvelle à Annie.
"Attends quelques minutes", décréta-t-elle, "je vais voir si je peux t'aider avec un maillot à moi. Mais je n'ai que des bikinis ! tu as déjà mis un bikini ?"
"Oui, j'aime bien !"

Annie termina sa tasse de café et me précéda dans le dressing. D'un tiroir, elle retira quelques maillots et bikinis.
"Tiens, essaie celui-çi !" et elle me tendit un bikini vert pâle.
J’étais en train de me demander si je devais essayer sur place ou si je devais aller dans ma chambre quand je vis Annie ôter son top, son soutien et son short. Je constatai qu'elle ne portait pas de petite culotte. Je la regardai discrètement. Elle avait un très beau corps. Ses seins étaient un tout petit peu plus gros que les miens mais aussi fermes. Elle s'avança vers moi, soulèva mon t-shirt. Je levai les bras et elle ôta mon t-shirt. Je dégraffai moi-même mon soutien. "Oh mais quelle jolie poitrine tu as ! tu dois faire tourner la tête des garçons !". Je retirai mon short et ma petite culotte et j'enfilai le bikini. A mon grand regret, la culotte était trop large. "Hélas, je n'ai pas plus petit ! j'avais un bikini à nouer sur les côtés mais je l'ai jeté après les vacances de l'année dernière ! Tant pis ou ... tant mieux ... on va nager nues ... tu verras, c'est très agréable !"

Elle me prit par la main pour me guider hors du dressing. Dans le couloir, elle marchait devant moi et je regardais ses jolies fesses. Nous sortîmes sur la terrasse. C'est la première fois que je me promenais nue dans un jardin et pourtant je me sentais bien. Je dirais même que je me sentais à l'aise. J’étais jeune. J’étais contente de mon corps. J’étais fière de mes seins. Mes fesses étaient bien rondes et fermes et ... je n'avais pas à me soucier de la bonne tenue de mon maillot !

Annie m'emmena au garage pour prendre une seconde chaise longue que nous installâmes au bord de la piscine, à côté de la première. Sur chaque chaise, elle disposa un grand drap de plage. Elle me reprit la main et annonça : "Oups, à l'eau !". Je descendis les marches. L'eau était un peu froide.
"24 degrés !", précisa Annie, "... çà tonifie les seins ! oh bien sûr, toi tu n'as pas besoin de ça !".
"Vous non plus !, lui dis-je.
"Tu trouves que j'ai encore de beaux seins ?"
"Mais ils sont superbes, parfaits !" et je le pense
"Mmmm j'aime que tu me dises cela !"

Sur ce, elle plongea dans l'eau et me rejoignis..
"On fait quelques longueurs ? ok ?"

Nous nagions côte à côte. Je devais ralentir pour rester à sa hauteur. C'était la première fois que je nageais nue. Je sentais l'eau couler sur mes seins, sur mon ventre et entre mes jambes. C'était bon !

"Tu aimes ?" me demande Annie. "Tu avais déjà nagé nue ?"
"Non, c'est la première fois ... mais c'est très agréable"
"Moi, je dirais agréable et un peu sensuel, peut-être même ... excitant !"
C'est exactement ce que j'étais en train de penser tout en m'efforçant de rejeter l'idée loin de moi et bien évidemment je n'aurais jamais osé le dire tout haut.

Nous avons fait une vingtaine de longueurs ... "J'arrête à deux cents mètres ... et puis je vais bronzer !" . Annie sortit de l'eau. Je regardai l'eau couler entre ses jambes. Elle se retourna pour me voir. J'avais une superbe vue sur sa chatte. Je constatais qu'elle était entièrement épilée. Je pensai : « encore un point commun car si j'ai des seins un peu développés pour mon âge, question pilosité, mon petit minou est encore tout nu ». Le sexe d’Annie ressemblait à une très longue cicatrice, avec deux lèvres fines, parfaitement droites, fermées. Je trouvais cela très beau. C’était la première fois que je pouvais regarder le corps d’une autre femme autrement que furtivement. Elle me laissait la regarder. Elle en paraissait même fière. Et moi j’étais heureuse.

Annie alla s'allonger sur le banc. Elle y était de quelques minutes qu'elle m'appella: "tu veux bien venir m'aider à mettre l'huile solaire ?"
"Oui, bien sûr !". Je sortis de l'eau et je m'approchai d'elle
"Mais c'est que tes têtons sont tout durs ! C'est l'eau qui te fait cet effet ?"
Elle me tendit la bouteille d'huile et se mit sur le ventre. Je commençai par étaler l’huile sur les épaules, le dos, je descendis vers la taille, je n'osai pas toucher les fesses et je passai directement aux jambes.
"Reste un peu pour bronzer ... tu seras encore plus jolie quand tu sera bronzée ... tu veux que je te mette l'huile ? Tu commences par le dos ou le devant ?"
"Le dos !"
Annie s'accroupit près de ma chaise et versa l'huile sur mon dos. Elle commença par le haut du dos et descendit lentement. Elle n’hésita pas à s’arrêter sur mes fesses. Ses mains ne faisaient qu'effleurer la peau. Elle n’étalait plus l’huile solaire ! Elle était en train de me caresser les fesses !
"Tu as de belles fesses !"
"Merci !"
"C'est vrai, tu sais ..." mais elle finit par passer aux jambes. D'une pression, elle me les fit écarter pour bien étendre l'huile sur l'intérieur des cuisses. Je ressentais des piccotements dans mon sexe, comme quand je commençais à me masturber. Mais elle n'insista pas et elle s'allongea sur sa chaise.

Je m’étais endormie et je commençais à émerger de mon sommeil quand j'entendis ses halètements. J'entr'ouvis un oeil et, discrètement, en prenant bien soin de ne pas bouger la tête, je regardai. Annie était sur le dos ; de la main gauche, elle caressait ses seins et sa main droite était entre ses cuisses. Elle se masturbait. Après quelques secondes d’étonnement, je commençai à trouver celà excitant. J'eu rapidement une envie folle de faire la même chose. Au bout d’une minute, il fallait absolument que je me masturbe afin de soulager la tension entre mes cuisses et dans ma tête. Mais je n'osai pas. Alors je continuai à la regarder discrètement. Je n'en pouvais plus. « A la seconde même qu’elle joui, je retourne dans l'eau ! » étais-je en train de penser. Mais je n’eus pas à attendre bien longtemps. J'endendis sa respiration qui devenait plus forte. Elle se cambra sur la chaise. Ses deux mains étaient sur sa chatte. Aux mouvements de ses mains, je voyais qu’elle se pénétrait d’une main alors que l’autre s’activait sur le clito. Elle poussa quelues petits cris et elle referma les cuisses sur ses mains. Je lui accordai encore quelques instants et très innocemment je fis semblant de me réveiller. Je la surpris : j’étais déjà assise sur ma chaise que ses deux mains étaient encore prisonnières de ses cuisses. Je croisai son regard. Elle me sourit. "Mmmm c'est bon le soleil !" me dit-elle.

Je courus dans l'eau. L'envie de me masturber me reprenait. Alors je nageai. Annie me rejoignit et se mit à nager avec moi, comme nous l'avions fait en commençant la journée.
"Tu m'as vue ?" demande-t-elle.

(à suivre - très vite) Posted by Picasa

Maîtresse aime sa part de cock en stock !

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LOVE is a meaning to become one after two !

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Duo à explosion

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Recueil de saison

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La vérité sort toujours de la bouche d'une femme désirante

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Bons Baisers de LoveLand, avec mes meilleurs voeux !

C'est sur le site de ma chère Cindy que j'ai pris connaissance de cette opération, "Bons Baisers de LoveLand", lancée par un auteur français. Cet auteur rappelle, à ceux et celles qui ne le savaient pas, que de nombreux Iraniens, hommes et femmes, homosexuels, sont condamnés à mort pour cette homosexualité, et pendus. Il nous invite, pour commencer, à ne pas oublier ces crimes, et pour d'autres, à l'apprendre, mais aussi et surtout, à faire usage de "e-cards", de photos accompagnées d'un message "Pour la Liberté en Iran, Bons Baisers de LoveLand". J'imagine la tête de ces barbus assoiffés de sang, et qui détestent les femmes, devant ces photos ! Elles, au moins, ne font pas de mal, ce qui n'est pas le cas de ces messieurs bardés de certitudes, avec leurs armes... Je veux, ici, lui exprimer mon soutien, je veux, ici, leur exprimer, à vous, à toi, femme iranienne, lesbienne, mon soutien et mon affection.

Open - open ! de France ou de LA ?

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Du fil, ce qui ne tient qu'à un...

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Once upon a time it was my first time...

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Student about you !

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Combinaison de ressemblances

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Pourquoi mon désir n'est jamais douché ?

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Turn never over

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Pour ce massage de passage éternel

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Monter la descente ou descendre la... ? je suis prise de vertige...

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