Mère des jeux latins et des voluptés grecques, Lesbos, où les baisers languissants ou joyeux, Chauds comme les soleils, frais comme les pastèques, Font l'ornement des nuits et des jours glorieux, — Mère des jeux latins et des voluptés grecques
lundi, avril 17, 2006
"Tu n'as pas honte, petite vicieuse ? fit-elle..."
Chrysalide, un nouvel extrait :
"– Je voudrais que tu m'insultes ! fis je en la regardant avec fièvre, comme hors de moi.
Elle me regarda, interloquée.
– Qu'est ce tu dis ? Tu n'es pas sérieuse !… Qu'est ce qui t'arrive ?
– Je voudrais que tu m'injuries, que tu m'humilies. Ne me demande pas pourquoi, je n'en sais rien, c'est idiot, mais c'est comme ça.
Cécile demeura un instant silencieuse, puis se penchant sur moi, me souffla à l'oreille :
– Ma chérie, ma petite salope, tu en veux encore, hein ? Attends, je vais m'occuper de toi, espèce… espèce de pute.
Ces mots me cinglaient tout en me procurant une excitation toute neuve, d'une nature que je ne connaissais pas encore. Le son exagérément douceâtre de la voix feutrée de Cécile me caressait le tympan, provoquant un doux frisson. Tout en continuant de me parler, elle parcourait toute la surface de mon corps, comme si les mots devaient pénétrer par ma peau. Elle approcha ses lèvres des miennes, mordit ma lèvre inférieure et s'écarta.
– Tu n'as pas honte, petite vicieuse ? fit-elle, dans un murmure moelleux.
Elle promena sa bouche sur mon cou, distribuant au passage une série de petits coups de langues acérés qui m'électrisèrent.
Elle arrêta ses lèvres au-dessus de mes seins. Son souffle chaud qui se répandait sur mes aréoles encore humides et sur mes pointes dressées m'impatienta. J'attendais qu'elle se décidât à me mordre ou me lécher. Cette attente m'était insupportable. Je me cambrai et gonflai ma poitrine dans l'espoir que mon sein rejoigne sa bouche, mais elle s'écarta, refusant le contact.
– Non ! fit-elle, soudain dure, on se calme ! Elle poursuivit :
– Ils sont beaux, hein, tes seins ! Attends, je vais m'en occuper !
Elle se caressa l'entrejambe et ramena sa main toute trempée de sa mouille qu'elle se mit à étaler sur la surface de mes seins. J'étais grisée par l'odeur, la sensation d'humiliation, le plaisir trouble qui s'ensuivit.
– Tiens, voilà ! Tu aimes ça, hein, espèce de sale cochonne ! Tu es une vraie salope tu sais !
Je commençai à gémir, ondoyant du bassin, à nouveau saisie par une montée de désir. J'eus un geste vers ma vulve qu'elle arrêta aussitôt d'une petite claque.
– Tss… tss… ! Pas de ça ! On ne peut pas.
Cécile était vraiment douée : cette interdiction fit aussitôt se tendre une arc dans mon ventre.
– Je… je voudrais que… que tu m'enfonces un doigt dans le cul ! fis-je soudain sans savoir ce qui me prenait.
L'œil de Cécile s'arrondit.
– Oh, oh ! fit-elle, mais voilà qui est mieux encore ! Tu n'es vraiment qu'une dépravée, pourriture, va !
Je regardais Cécile d'un air suppliant. Ses insultes me faisaient mal, je les ressentais comme autant d'humiliations, en même temps elles me procuraient une incroyable excitation. J'étais complètement déchirée par ces sentiments contradictoires. Cécile poursuivit :
– Non mais regarde-toi, tu es vraiment dégoûtante ! hhh… Tu suintes, tu dégoulines. Hhh… C'est dégueulasse !
Les mots qu'elle prononçait et auxquels elle n'arrivait pas à conférer la moindre vulgarité, avaient beau sonner faux, ils m'atteignaient pourtant, me faisant souffrir. Je remarquai qu'elle était à nouveau bien excitée. Je voulus mettre fin à ce jeu cruel.
– Cécile, je t'en prie … minaudai-je, ça suffit comme ça .
– Tais-toi , fit-elle, péremptoire.
Matée, je me tus. Je sentis des larmes couler sur mes joues en feu. Elle me regarda d'un air exagérément mauvais qui m'eût fait rire en d'autres circonstances.
– Cécile ! fis-je d'une voix rauque, au bord des larmes, je t'aime .
Ce disant, j'écartai les cuisses au maximum, m'offrant complètement aux caresses et aux intrusions, voire aux violences de Cécile. Je soulevai mes fesses et pointai mon pubis pour mieux m'offrir.
Cécile se jeta littéralement sur ma fente qu'elle commença à fouiller à grands coups de langue. En même temps, je sentis un doigt se poser sur la petite rosace de mon trou de cul. Le visage de Cécile émergea d'entre mes cuisses ; elle me regardait d'un air sauvage, (...)"
A lire sur Erotis.net, le site de Bilitis
"– Je voudrais que tu m'insultes ! fis je en la regardant avec fièvre, comme hors de moi.
Elle me regarda, interloquée.
– Qu'est ce tu dis ? Tu n'es pas sérieuse !… Qu'est ce qui t'arrive ?
– Je voudrais que tu m'injuries, que tu m'humilies. Ne me demande pas pourquoi, je n'en sais rien, c'est idiot, mais c'est comme ça.
Cécile demeura un instant silencieuse, puis se penchant sur moi, me souffla à l'oreille :
– Ma chérie, ma petite salope, tu en veux encore, hein ? Attends, je vais m'occuper de toi, espèce… espèce de pute.
Ces mots me cinglaient tout en me procurant une excitation toute neuve, d'une nature que je ne connaissais pas encore. Le son exagérément douceâtre de la voix feutrée de Cécile me caressait le tympan, provoquant un doux frisson. Tout en continuant de me parler, elle parcourait toute la surface de mon corps, comme si les mots devaient pénétrer par ma peau. Elle approcha ses lèvres des miennes, mordit ma lèvre inférieure et s'écarta.
– Tu n'as pas honte, petite vicieuse ? fit-elle, dans un murmure moelleux.
Elle promena sa bouche sur mon cou, distribuant au passage une série de petits coups de langues acérés qui m'électrisèrent.
Elle arrêta ses lèvres au-dessus de mes seins. Son souffle chaud qui se répandait sur mes aréoles encore humides et sur mes pointes dressées m'impatienta. J'attendais qu'elle se décidât à me mordre ou me lécher. Cette attente m'était insupportable. Je me cambrai et gonflai ma poitrine dans l'espoir que mon sein rejoigne sa bouche, mais elle s'écarta, refusant le contact.
– Non ! fit-elle, soudain dure, on se calme ! Elle poursuivit :
– Ils sont beaux, hein, tes seins ! Attends, je vais m'en occuper !
Elle se caressa l'entrejambe et ramena sa main toute trempée de sa mouille qu'elle se mit à étaler sur la surface de mes seins. J'étais grisée par l'odeur, la sensation d'humiliation, le plaisir trouble qui s'ensuivit.
– Tiens, voilà ! Tu aimes ça, hein, espèce de sale cochonne ! Tu es une vraie salope tu sais !
Je commençai à gémir, ondoyant du bassin, à nouveau saisie par une montée de désir. J'eus un geste vers ma vulve qu'elle arrêta aussitôt d'une petite claque.
– Tss… tss… ! Pas de ça ! On ne peut pas.
Cécile était vraiment douée : cette interdiction fit aussitôt se tendre une arc dans mon ventre.
– Je… je voudrais que… que tu m'enfonces un doigt dans le cul ! fis-je soudain sans savoir ce qui me prenait.
L'œil de Cécile s'arrondit.
– Oh, oh ! fit-elle, mais voilà qui est mieux encore ! Tu n'es vraiment qu'une dépravée, pourriture, va !
Je regardais Cécile d'un air suppliant. Ses insultes me faisaient mal, je les ressentais comme autant d'humiliations, en même temps elles me procuraient une incroyable excitation. J'étais complètement déchirée par ces sentiments contradictoires. Cécile poursuivit :
– Non mais regarde-toi, tu es vraiment dégoûtante ! hhh… Tu suintes, tu dégoulines. Hhh… C'est dégueulasse !
Les mots qu'elle prononçait et auxquels elle n'arrivait pas à conférer la moindre vulgarité, avaient beau sonner faux, ils m'atteignaient pourtant, me faisant souffrir. Je remarquai qu'elle était à nouveau bien excitée. Je voulus mettre fin à ce jeu cruel.
– Cécile, je t'en prie … minaudai-je, ça suffit comme ça .
– Tais-toi , fit-elle, péremptoire.
Matée, je me tus. Je sentis des larmes couler sur mes joues en feu. Elle me regarda d'un air exagérément mauvais qui m'eût fait rire en d'autres circonstances.
– Cécile ! fis-je d'une voix rauque, au bord des larmes, je t'aime .
Ce disant, j'écartai les cuisses au maximum, m'offrant complètement aux caresses et aux intrusions, voire aux violences de Cécile. Je soulevai mes fesses et pointai mon pubis pour mieux m'offrir.
Cécile se jeta littéralement sur ma fente qu'elle commença à fouiller à grands coups de langue. En même temps, je sentis un doigt se poser sur la petite rosace de mon trou de cul. Le visage de Cécile émergea d'entre mes cuisses ; elle me regardait d'un air sauvage, (...)"
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dimanche, avril 16, 2006
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