jeudi, août 18, 2005

Alter Ego, la suite


Je n’eus que le temps de me rasseoir à peu près
correctement. La petite voiture bondit en avant. Je
devinai qu’elle nous emmenait chez elle, ce qui me
convenait à merveille. Jamais je n’aurais imaginé,
quelques heures plus tôt, que je connaîtrais une telle
joie. De temps à autres, lorsque la circulation,
fluide à cette heure avancée, l’y autorisait, Caroline
m’adressait de longs regards enfiévrés. Nous étions
toutes les deux drôlement excitées !
Je replongeai hardiment la main dans l’entrejambes de
Caroline qui semblait n’attendre que ça. Elle écarta
aussitôt les cuisses, autant que le permettait
l’exiguïté du véhicule. Je sentis ses muscles se
raidir sous ma caresse. Je pris un plaisir ineffable à
laisser errer ma main sur l’intérieur de sa cuisse
qui, écrasée sur le fauteuil, formait une courbe
harmonieuse. Je ne me lassai pas de la regarder. Je
poussai plus avant mon investigation : la petite
culotte était trempée, ce qui n’était guère de nature à me
surprendre. Écartant délicatement le slip tout maculé,
je promenai un instant mon doigt sur la toison avant
de plonger dans l’orifice béant. Je cherchai le
clitoris que je découvris tout gonflé, dressé, raide
et juteux. Je me mis à le titiller nerveusement.
– A… arrête ! fit-elle. Je… je vais… c’est…
Brusquement, elle referma les jambes, emprisonnant ma
main entre ses cuisses qu’elle serra comme un étau.
Elle s’empêchait de jouir.
Nous fîmes une embardée et je craignis qu’elle ne
perde le contrôle du véhicule mais, après un dernier
tournant, la voiture se rangea le long du trottoir.
Avant que j’aie pu réaliser ce qui se passait,
Caroline était sortie du véhicule et fonçait vers la
façade d’un immeuble tout proche. Je m’empressai de la
suivre. Lorsque je la rejoignis, la porte était déjà
ouverte ; elle m’attira à l’intérieur. Elle était
survoltée ! A peine refermée sur nous la porte de
l’ascenseur, elle m’embrassa sauvagement sur la bouche
tout en m’écrasant un sein d’une main et enserrant ma
vulve de l’autre. Je me délectai de cette douce
violence qui fit croître encore mon excitation. Je me cambrai
pour mieux m’offrir, écartai les cuisses pour
faciliter l’exploration de sa main en folie. J’étais
aux anges.

Nous sursautâmes lorsque l’ascenseur, à bout de
course, s’immobilisa dans un léger soubresaut. En un
clin d’œil nous fûmes à l’intérieur de son
appartement, exigu, mais coquettement arrangé et des
plus confortable. À l’évidence, Caroline appréciait la
douceur de vivre.

– Viens ! ordonna-t-elle d’une voix rauque.
Elle m’attira vers un large canapé recouvert de cuir
et, d’une bourrade, me força à m’y asseoir. Elle me
regarda d’un air étrange, comme angoissé, éperdu.
Elle se mit à soulever lentement son pull qu’elle
passa par-dessus ses épaules. Elle ne portait pas de
chemise. Je sentis une bouffée de chaleur me monter au
visage lorsque je découvris une superbe paire de seins
enfermés dans un soutien-gorge qui semblait avoir bien
du mal à les contenir.

Je n’arrivais pas à détacher mes yeux de ces superbes
rondeurs, j’étais en admiration, impatiente de
découvrir la poitrine dans sa somptueuse nudité.
De son côté, Caroline me mangeait des yeux, prenant un
plaisir intense au spectacle de mon admiration béate.
– Comment me trouves-tu ? fit-elle, sur un ton où,
curieusement, perçait une nette inquiétude.
– Qu’est-ce que tu es belle ! avouai-je, sans aucune
retenue.
Après avoir envoyé promener son pull dans un coin de
la pièce, Caroline entreprit de dégrafer son
soutien-gorge. Je faillis jouir sur le coup en
voyantbondir vers mon visage les deux melons libérés
de leur entrave. Elle avait des seins réellement
superbes : haut placés, d’un galbe et d’une rondeur
parfaits, tout gonflés de désir. Les globes se
terminaient par de larges aréoles légèrement
proéminentes, ce qui leur donnait l’aspect de fruits
mûrs.

Mes yeux éperdus parcouraient tout son buste, scrutant
ses formes magnifiques, longeant ces courbes divines,
plongeant dans la vallée profonde qui séparait ses
deux melons épanouis, admirant le dessin des côtes et
les courbes agréables d’un buste parfaitement
proportionné, d’un ventre plat et ferme.
Quelle beauté ! Pourtant, des seins, j’en avais vu, et
de beaux, mais ceux-là !... La perfection ! L’état
d’excitation dans lequel elle était avait fait de sa
poitrine deux obus brandis qui semblaient me viser.
– Caroline ! fis-je, éperdue, tu es superbe !... Je…
je crois que je n’ai jamais rencontré quelqu’un
d’aussi attirant, d’aussi…
Mue par une soudaine impulsion, je m’emparai d’un sein
et entrepris de le malaxer avec vigueur tandis que ma
bouche se mettait à téter le mamelon fièrement dressé
de l’autre globe.
Caroline gémissait de plaisir.
– Oh, oui ! fit-elle, exaltée, lèche-moi, lèche mes
seins, pelote-moi, pétris ma grosse poitrine… gifle
mes seins, suce-les… mords mes gros seins, ça
m’excite… j’adore ça !

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