mercredi, octobre 19, 2005

Selon Romane...

Le train

C'était à une époque où le TGV ne reliait pas Marseille en quelques
heures. C'était une époque où l'on prenait le temps de vivre.

C'était un mois de juillet et je me rendais chez des amis dans le sud
pour les vacances. Je me souviens qu'il faisait très chaud et que je ne
portais qu'un léger string et une robe d'été à fleur.

J'avais réservé ma place longtemps en avance voulant éviter de voyager
dans le couloir.

Je trouvais la voiture et ma place dans un compartiment. Je trouvais
les compartiments plus intimes pour de long voyage.

Je m'installais confortablement et plongeais dans le bouquin que
j'avais décidé de lire pendant mes vacances.

Je trouvais qu'il n'y avait pas grand monde qui passait dans le
couloir à la recherche d'une place.

Une femme, ayant à peu près la cinquantaine, entra dans le
compartiment. Elle était accompagnée de deux jeunes filles, une blonde
et une brune, portant chacune un sweater ventant les mérites d'une
quelconque université Américaine, une petite jupe d'écolière en
tartan, des chaussettes blanches montant à hauteur de genoux et de
petit soulier vernis. Bref, la jeune écolière faisant fantasmer tous
les hommes de la terre. Je ne pensais pas que cela existait encore.

- Bonjour madame ! » me dirent elles de façon très poli.

- Mesdemoiselles ! Pouvez-vous monter nos affaires sur le
porte-bagages ? »

- Oui, mademoiselle ! » répondit la blonde.

Elles s'exécutèrent. Je ne pus m'empêcher de regarder leurs petits
culs dans leur jupette. Merveilleux, je dois dire.

Elle s'installa en face de moi et les deux jeunes filles du côté de la
fenêtre. Je ne pouvais deviner son corps à travers la robe informe
qu'elle portait. Elle chaussa des lunettes demi-lune et se mit à
tricoter.

Je me replongeais dans mon livre.

Les jeunes filles regardaient à l'extérieur et gloussaient comme deux
petites dindes.

- Un peu de silence mesdemoiselles ! Vous déranger notre
compagne de voyage ! »

- Oui mademoiselle. »

- Ce n'est pas grave ! » lui dis je en souriant.

- Je raccompagne ces deux jeunes filles chez leurs parents à Marseille. »

- Vous êtes leur gouvernante je suppose. »

- Exacte ! Elles me donnent parfois du fil à retordre, mais
dans l'ensemble cela se passe bien. »

J'entendis le sifflet du contrôleur annonçant le départ.

- C'est étonnant qu'il n'y ait si peu de personnes dans notre
compartiment, voir notre voiture. Je pensais que ce serait bondé»

- Effectivement ! » dit elle en se replongeant sur son œuvre.

Je repris le cours de ma lecture. La brune se leva et prit une revue
dans un sac au dessus d'elle. Elles la parcoururent ensemble.

Le contrôle des billets se fit assez vite après le départ du train. La
femme accompagna le contrôleur dans le couloir et discuta longuement
avec lui. Elle revint en prenant soin de refermer la porte derrière
elle. Elle reprit sa place et continua à tricoter après m'avoir
sourit.

Le contrôleur revint et posa un panneau sur la porte.

Je n'y prêtais pas attention.

Les jeunes filles continuaient à glousser en lisant un magazine genre
« Salut les copains ».

La femme les rappelait à l'ordre de temps en temps.

A un moment, je ne les entendis plus. Il y avait un bruit particulier,
un bruit de, un bruit de langues mouillées, un bruit de baiser.

- Mesdemoiselles, voyons, un peu de tenu ! » Dit la femme.

Je regardais en direction des deux jeunes filles. La revus gisait sur
le sol. Elles s'embrassaient à pleine bouche.

- Mesdemoiselles ! Voulez vous vous arrêter sur le champ ! »

En guise de réponse, la brune glissa ses mains sous le sweater de la
blonde et caressa les seins de la belle. Je me mis alors à mouiller
devant ce merveilleux spectacle.

Je jetais un œil sur le magazine en question. L'intérieur n'avait rien
à voir avec la couverture. Je voyais une photo montrant deux créatures
féminines pratiquant un 69.

- Mesdemoiselles, vous êtes deux petites polissonnes ! »

La gouvernante posa ses aiguilles et posa ses mains sur les hanches de
la brune qui lui tournait le dos. Je m'attendais, pour mon plus grand
désespoir, qu'elle tire la fille en arrière afin de mettre fin au
baiser. Ce qu'elle fit me stupéfia.

Ses mains glissèrent sous le sweater de la brune et allèrent caresser
également les seins.

Le baiser prit fin entre les deux jeunes filles. La brunette abandonna
la caresse des seins de son amie, retourna sa tête et embrassa à
pleine bouche la gouvernante. C'était beau, imprévu et torride. Je
mouillais de plus en plus.

La blonde me regarda et sourit. Elle prit le bas du sweater de son
amie et le retira. La brunette avait deux merveilleuses petites
pommes. La gouvernante abandonna le baiser afin d'aller lécher, sucer
les beaux fruits. La brunette embrassa à nouveau la blonde.

La blonde remonta la jupette de la brunette, dévoilant un sexe, nue,
imberbe, sans culotte.

Ho mon dieu, quelle torture.

- Ma petite Claire ? »

- Oui mademoiselle ! » répondit la blonde.

- Pouvez-vous me descendre mon sac personnel ? »

- Oui mademoiselle ! »

Elle se leva et posa le sac à côté de la femme qui avait reprit la
sucions de seins de la brunette. Elle l'ouvrit et plongea une main
dedans. Elle en sortit un superbe godemiché ceinture noir.

Le voyage s'annonçait sous les meilleurs auspices.

La gouvernante se leva.

- Déshabillez moi ! »

Les deux filles s'exécutèrent et déshabillèrent leur gouvernante. Elle
avait un corps bien ferme pour son âge. Elle arborait une superbe
guêpière. Elles retirèrent sa culotte.

Claire, la petite blonde, fixa l'engin autour de la taille de la
femme. La blonde me regarda alors, toujours avec ce sourire d'ange.

La gouvernante et la blonde se regardèrent rapidement. La blonde me
fit face, retira son sweater gracieusement en avançant vers moi et
dévoila une somptueuse paire de seins… woufff. Elle défit le lien de
ses couettes et me tendit la main une fois près de moi.

Je posais mon livre et prit sa main. Elle me fit me lever.

Ho que j'avais envie de sa bouche. Nos lèvres se collèrent et j'eus ma
récompense. Elle embrassait merveilleusement bien. Je posais mes mains
sur sa plantureuse poitrine et la caressais. Je voulais ses seins sous
ma langue. Je descendis les lécher, les sucer, les aspirer au plus
profond de ma bouche.

Du coin de l'œil je voyais la brune, une main entre les cuisses se
masturbant alors qu'elle suçait avidement le godemiché attaché au rein
de la gouvernante. Cette dernière l'encourageait avec de douce parole.

J'étais en plein rêve.

Je glissais mes mains sous la jupette écossaise de mon amie et
découvris que la belle ne portait pas plus de culotte que son amie. Je
découvris la rondeur de son postérieur.

Les doigts de la blonde trouvèrent les boutons de ma robe et les
défit. Ma robe glissa me laissant nue avec uniquement mon string. Ces
douces mains me caressèrent le dos, les fesses.

En face, la brune s'était mise à genoux. La gouvernante lapait le sexe
humide de la fille par derrière. La situation devenait de plus en plus
folle.

La blonde me repoussa, m'embrassa sur la bouche et alla chercher
quelque chose dans le sac de la gouvernante.

Cette dernière s'introduisait dans la brunette.

La blonde sortit un autre gode du sac. Sa jupette glissa à terre. Elle
avait des lèvres très ourlées, bien humides. Son pubis était aussi nu
que le mien. Elle plaça le gode sans me quitter du regard et vint vers
moi.

Le baiser fut cette fois plus passionné, plus humide. Je tenais le
gode entre mes doigts. Je m'agenouillais alors et le gobais avidement.
Alors que je suçais l'engin, j'en profitais pour glisser deux doigts
sur les lèvres intimes de mon amante.

La brunette criait son bonheur sous les coups de boutoir de la gouvernante.

Je me levais et m'agenouillais sur la banquette. J'écartais
l'élastique de mon string pour lui dégager le passage vers ma vulve
gorgée de mes liqueurs.

Une bouche gourmande se posa sur ma fleur. Je gémis. Une langue
coquine glissa dans la moiteur de ma grotte. Quel délice…………

La belle me fit me rapprocher plus du paradis. Sa bouche me quitta et
fut remplacée par son gode.

- Viens, viens, baises moi ! » dis je.

L'engin me pénétra sans problème tellement j'étais humide. Elle
commença son mouvement de piston.

La brunette jouissait à tue tête. Je ne mis pas longtemps pour arriver
à son niveau de jouissance tant la blonde était experte à ce jeu. J'en
oubliais le fait qu'il puisse y avoir des gens à côté. Le gode entrait
et sortait de moi tel un piston merveilleusement huilé.

A côté, la brunette s'était couchée sur la banquette et la gouvernante
lui dévorait à nouveau le sexe.

Je jouis une, deux, trois fois. Je finis par me dégager de son emprise
et me couchais moi aussi sur la banquette. Je me mis en œuvre de me
débarrasser de mon string noir. Mon amante m'aida pour le passage des
chevilles. Elle renifla le tissu plein de mes odeurs. Elle le posa
ensuite et s'allongea sur moi. Je sentais le godemiché gluant sur mon
bas ventre. Nos bouches s'unirent à nouveau, puis elle descendit
s'occuper de mes seins.

Oh quel bonheur que cette bouche mutine sur mes tétons ardent. Elle
continua sa progression vers le bas, le bout de sa langue traçant un
chemin de salive. Elle titilla mon nombril, cueillit un peu de ma
liqueur déposée par son godemiché sur mon mot de vénus imberbe. Je
frémis à nouveau lorsque sa bouche glissa sur ma fleur. Quel délice à
nouveau de sentir sa bouche sur ma grotte tant martyrisée par l'engin
en plastique

La brunette chevauchait maintenant la gouvernante.

De petits gémissements sortaient de ma bouche tant la caresse buccale
de mon amante était merveilleuse. Je caressais ces cheveux,
l'encourageais.

- Humm, c'est bon, bouffe moi, déguste ma petite chatte d'amour. »

Je finis par la repousser doucement. J'avais faim d'elle maintenant.
Je me levais et la débarrassais de son engin en plastique. Je
l'installais sur la banquette, pieds calés de chaque côté contre les
accoudoirs, ouverte à souhait. Je m'agenouillais.

L'odeur de sa prune ourlée me ravit les narines. Je l'embrassais
fiévreusement. Ma langue glissa dans cette fleur odorante. Quel lieu
magique, humide, gustatif. Je la buvais, la broutais. La belle jouit
plusieurs fois sous ma bouche et ma langue.

Un objet dur et puissant me pénétra dans le dos. La gouvernante,
laissant un peu de répit à la jolie brunette, était venue s'occuper de
moi. J'en oubliais la chatte de Claire qui quitta sa place et alla
rejoindre sa jeune amie.

Je jouis à nouveau sous les coups de boutoir de la gouvernante.

Je demandais grâce.

Elle se releva et alla vers ses compagnes qui s'embrassaient et se
pelotaient. Elle les repoussa afin de s'installer au milieu d'elle.
Les filles, sans aucun ordre de sa part, se mirent à lécher et sucer
le godemiché luisant.

Je regardais la scène, assise face à elles. La gouvernante arborait un
délicieux sourire. Je pris cela pour une invite.

J'ai également une petite cache secrète dans mon sac de voyage où je
glisse quelques sex toys. Enfin, elle n'est pas si petite que cela vu
qu'il s'agit du fond de mon sac. Je n'ose plus l'utiliser ces derniers
temps, à cause du risque de fouille dans les gares. J'en porte alors
sur moi, en moi : boules de geisha ou petit olisbos merveilleusement
poli.

J'avais, ce jour là, dans ma cache secrète, un objet fort puissant,
étonnant, offert par une bonne amie. J'en avais très peu vu jusqu'à ce
qu'elle me l'offre. On l'avait essayé ensemble. C'était un godemiché à
deux têtes, l'un pour le petit cul, l'autre pour la vulve de la fille
pénétrée. J'étais sûre que mon jouet aller leur faire de l'effet.

C'était le cas. Je m'approchais d'elles.

- Pouvez-vous m'aider à le fixer mesdemoiselles ? »

Elles s'exécutèrent.

- Préparez les pour votre maîtresse ? »

Elles se mirent à lécher et sucer à tour de rôle les deux pénis de
latex. La femme retira le godemiché qui ceignait à sa taille.

- Claire ! »

- Oui madame ! »

- Pouvez vous préparer votre maîtresse pour notre affaire. »

La femme se mit à genoux suivant mon conseil. La belle blonde prépara
la chatte et le cul de sa maîtresse à grand coup de langues.

Je m'installais alors derrière la femme, embrassais ses deux globes
merveilleusement offerts et plaçais chacun des phallus à leur place.
Je la pénétrais alors.

Je remarquais que je ne l'avais pas encore entendu gémir. C'était
chose faite. Je m'enfonçais lentement, doucement en elle, le temps que
ses muscles s'accommodent à l'engin.

Claire se colla dans mon dos. Je sentais la moiteur de son sexe contre
mes fesses. Je reculais alors pour m'enfoncer encore un peu plus loin.
Je me mis alors à besogner la femme avec ferveur. Ses cris, ses râles
m'encourageaient à continuer de plus belle.

La brunette, dont je ne connaissais pas encore le prénom, enjamba le
corps de sa maîtresse et m'offrit une superbe vision de son sexe
glabre. J'y déposais ma bouche, le temps d'un répit pour mon amante
sous moi. Une liqueur aussi douce que celle de sa jeune amie coula
dans ma bouche, ma gorge. Les deux jeunes filles s'embrassaient au
dessus de moi.

Je repris mon travail sur la gouvernante la faisant jouir comme une folle.

La femme finit par s'écrouler sur le sol du compartiment comme une
poupée désarticulée. Je bus à nouveau dans le calice de la brunette
avant de les aider à allonger la femme sur la couchette.

Je me suis assise de l'autre côté et les deux jeunes filles me
rejoignirent pour lécher le godemiché à double tête. J 'étais moi
aussi épuisée. Je m'accordais un répit.

C'est alors que je remarquais que les rideaux, donnant sur le couloir,
étaient resté ouvert. On avait fait l'amour au vu de n'importe qui
passant dans le couloir. Je ne remarquais pourtant personne, bien que
cela ait bien duré deux heures environ...

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