lundi, octobre 17, 2005

L'assistante succombe ...

Cette histoire est un extrait de "La Doctoresse", par Romane. Cet extrait se situe dans le cours du récit. Pour lire l'ensemble de l'histoire, il vous suffit de cliquer ici___________________________________________________________________________________

A la fin de la séance de madame F, j’appelais mon assistante.

-Marie? »

-Oui docteur! »

-Faites entrez la dernière patiente! »

-Bien docteur. »

-A demain Marie? »

-A demain docteur! »

La porte s’ouvrit et Marie entra dans mon cabinet.

-Ben, Marie! Ou est la patiente? »

-C’est moi docteur. »

-Ha bon, et quel est votre problème? »

Elle s’approcha du bureau et je me demandais où ce trouvait la jupe que j’avais remarqué durant l’inventaire. Elle s’assit dans le fauteuil me dévoilant sa jambe gainée de bas.

-Je ne sais pas ce que j’ai. Depuis que j’ai quitté votre bureau, dès que je pense à vous et que je vois l’engin dans votre tiroir de consultation, j’ai la gorge qui s’assèche, ma poitrine qui gonfle et mon sexe qui mouille. »

Elle dit cela très sérieusement. Je ne vis aucune lueur de blague dans ses yeux. Je pris alors mon air de docteur.

-Ha bon! C’est étonnant votre affaire. Avez vous déjà eu ce symptôme auparavant? »

-Oui, mais je ne m’en étais pas inquiétée outre mesure. »

-On va voir cela. Déshabillez vous et asseyez vous sur la table de consultation. »

-Bien docteur. »

Elle s’approcha de la table de consultation, retira sa blouse. Elle avait déjà retiré sa jupe. Elle apparut uniquement en bas et en tanga en dentelle orange. Elle était vraiment très « bonne ». Elle posa sa blouse sur une chaise et s’assit sur le bord de la table en me regardant. Sa poitrine était tendu à tout rompre.

Je m’approchais d’elle. Il émanait de son corps une chaleur animale.

-Ouvrez donc votre bouche et faîtes « A » ».

Elle s’exécutait et évidemment je ne voyais rien.

-Les muqueuses sont évidemment sèches. Vous avez quoi encore? »

-Mes seins! Regardez les, ils sont tout durs! »

Je pris les tétons entre mes doigts. Elle gémit. Ils étaient durs comme du silex. Je les pinçais avant de calmer mon geste par une douce caresse du paume de la main.

-Moui! Et votre sexe devient humide? »

-Oui docteur! »

Je descendis ma main vers son tanga.

-C’est le cas en ce moment? »

-Oui docteur! »

Lorsque j’atteignis l’élastique de sa culotte, elle écarta légèrement les jambes afin de laisser ma main passer. Effectivement, je recueillis un peu de liqueur sur les tissus de sa culotte. Je mis ensuite mon doigt dans la bouche sans la quitter du regard.

-Hummm. » Fis je. C’était divin. « Je pense avoir un remède à votre problème.

-C’est vrai docteur! » dit elle l’air soulagé.

Très bonne comédienne si elle rate ses études de médecine, pensai-je. Je posais mon stéthoscope.

-Détendez vous! On va voir vos problème, un à un. »

Je passais une main derrière sa tête et l’attirais doucement sur mes lèvres. Elles s’unirent et je glissais ma langue dans sa bouche. Elle ne fit aucune résistance, répondant plutôt énergiquement à mon baiser. Je quittais sa bouche et descendis vers sa poitrine turgescente. Un à un, je léchais ses tétons et gobais ses mamelons. La belle gémissait sous ma caresse buccale. Elle posa sa main dans mon coup afin d’accentuer la pression de ma bouche sur ses seins.

-Arrêtez docteur! Vous ne faites que empirez les choses. »

Je quittais sa poitrine et descendis vers le nombril. Je pris son tanga et le fis glisser le long de ses jambes gainées de bas. Elle n’opposa aucune résistance. Sa toison était merveilleusement épilé à la forme de la marque du string qu’elle portait à la plage. Une fois débarrassée de sa culotte, elle écarta ses jambes afin de me laisser passer. Une odeur de cyprine envahit mes narines. J’écartais ses lèvres poisseuses et commençais à lécher l’intimité humide de la belle. Elle me tenait la tête et poussait des cris à chacun de mes coups de langue. Je glissais ma langue agile dans ses chairs, buvant ses liqueurs avec délice. Je me caressais la chatte à travers mon fuseau et mon string. Je mouillais abondamment.

2 commentaires:

SapphoetBilitis a dit…

Pour le cerveau largement reptilien de la bête humaine, ma chérie, l'image parle le langage le plus clair et simple; un texte, il faut le lire, c'est un effort, et les commentaires sont donc plus rares... Mais une éducation comme celle dont je t'ai parlé, tu te souviens, et tout ira mieux...

Romane BONY a dit…

Pour sûr. Une petite pépé en uniforme d'infirmière aurait attiré bien plus de monde. Il est plus facile de nos jour de regarder la télé que de prendre le temps de lire...