mardi, août 22, 2006

Initiation, I, Don de Marie-Jo

 Initiation
par Marie-Jo

L’amour au féminin

J'allais avoir seize ans lorsqu'une amie de ma mère m'a fait découvrir l'amour au féminin d’abord et m’a initiée à d’autres jeux érotiques. J'ai aujourd'hui quarante et un an. Je suis bisexuelle et libertine et j'assume cela avec aisance. Il ne fait aucun doute que je dois mon évolution et mon épanouissement sexuel aux moments que j'ai vécus avec cette femme, à ce qu'elle m'a fait découvrir. Je ne l'oublierai jamais. Elle a aujourd'hui soixante-six ans et j'aimerais la revoir.

Mais revenons à mes seize ans. J'étais la cadette d'une famille de trois enfants. La seule fille. Ma mère avait quarante et un an et mon père quarante-cinq. J'étais précoce sur tous les plans. J'étais une très bonne élève et je venais de terminer avec la mention "excellent" l'avant dernière année de lycée. J'étais assez grande pour mon âge et j'attirais le regard de beaucoup de garçons à cause de ma belle chevelure blonde et d'une poitrine assez développée. Je portais déjà du B+.

Les vacances s'annonçaient bien. Depuis la fin des examens, nous avions droit à un soleil radieux. Le seul problème était de s’occuper. Mon père et ma mère avaient décidé de ne pas partir en juillet-août. J’avais eu quelques propositions pour accompagner une amie et ses parents mais j’avais décliné. Je me renseignais sur des stages de tennis mais je n’avais encore rien décidé.

Vers la mi-juillet, ma mère invita un couple ami à venir dîner à la maison. Mon père prépara un BBQ. Je vis arriver une femme, très grande, blonde comme moi, portant une robe légère avec un profond décolleté. Suivie de son homme, lui aussi grand et distingué. Elle était habillée très "sexy", ce qui contrastait avec les tenues assez classiques que portait toujours ma mère. Je regardais mon père et ses yeux qui plongeaient vingt fois par minute dans le décolleté de notre invitée. Et ma mère qui semblait ne pas le remarquer. J'étais fascinée par le charme et l’aisance de cette femme. Chaque fois que mon regard croisait le sien, elle me souriait et je lui répondais par mon plus beau sourire. Je me disais que je voudrais, en grandissant, lui ressembler. D'après ce que ma mère m'avait dit, notre invitée et elle avaient grandi ensemble et elles étaient restées en contact pendant de nombreuses années puis, faute de temps, elles avaient cessé de s'appeler. Aux vacances, elles s'envoyaient une carte. Et puis, quelques mois avant ce BBQ, ma mère avait pris l'initiative de lui téléphoner. C'est de ce contact que résultait la rencontre de ce jour. Nos deux invités s'appelaient Annie et Michel.

Dans la conversation, j'avais compris qu'Annie et Michel habitaient à une trentaine de kilomètres de mes parents, qu'ils avaient une jolie villa à la campagne avec une piscine. Qu'ils n'avaient pas pu avoir d'enfant.

Peu avant la fin du repas, Annie demanda à ma mère si je partais en camp avec les guides. Je répondis moi-même que non. Elle me demanda alors ce que je comptais faire pendant les deux mois de vacances, enfin, le mois et demi qui restait ? Je lui répondis que c'était un point auquel je n'avais pas encore réfléchi. Elle me demanda aussi si j'aimais nager. Avec un grand sourire -car je devinais la proposition qui allait suivre- je lui répondis que j'adorais nager, que j'étais capable de rester une journée entière dans l'eau, que ce soit en piscine ou à la mer. Ce à quoi Annie répondit que je pouvais venir chez eux quand je voulais, pour profiter de la piscine.
"C'est très gentil de votre part" lui dis-je, "mais je n'ai que 16 ans, je ne conduis pas encore et celà m'étonnerait que maman me laisse aller jusque chez vous en mobylette !"
"Mais ton papa peut t'emmener le matin et te reprendre le soir ... ou quelques soirs plus tard"
Alors maman intervint pour signaler que papa allait partir 10 jours aux States pour le travail.
"Et pourquoi ne reviendrais-tu pas avec nous ce soir ? Et ta maman viendra te rechercher d'ici quelques jours !"
Je regardai ma mère. Mes yeux lui demandaient d'acquiescer. Pour la forme, elle demanda "mais celà ne vous dérange pas ?" mais sans attendre la réponse, elle ajouta "Vous ne pourriez pas faire plus plaisir à Marie-jo que de la laisser nager pendant une journée entière ! Elle est Scorpion mais elle aurait dû être Poisson !"


Je n'attendis pas plus longtemps, je montai dans ma chambre pour rassembler quelques vêtements.

Vers 23 heures, Annie et Michel prirent congé de mes parents. Entre-temps, mon séjour s'était allongé et j'attendrais chez eux le retour de mon père. Maman et papa passeraient me rechercher dans une dizaine de jours. Annie ajouta "on se fera un petit BBQ ... si le temps le permet".

En arrivant chez eux, peu avant minuit, ils me firent faire un petit tour de la maison. Puis ils allèrent me montrer la piscine qu'ils illuminèrent pour la circonstance. Je leur dis que j'avais envie de plonger mais Annie répondit «maintenant on va aller dormir. Demain ne te lève pas trop tard, on déjeunera tôt et on sera dans l'eau avant 10 heures !». Quelques heures pour dormir, et je serais dans l'eau ! Ils m'installèrent au premier étage, dans la chambre d'amis située en face de la leur. Je regrettais un peu de n'avoir pas la vue sur la piscine mais je comprenais qu'ils se soient réservés cette vue.

Le lendemain, je me levai vers 8 heures et je descendis. Annie, qui était déjà dans la cuisine, m'annonça que Michel était déjà parti au travail mais qu'elle m'avait attendu pour prendre le petit déjeuner. Elle me demanda d'aller mettre la table sur la terrasse et pour cela, elle m'indiqua où étaient les assiettes, les tasses, les verres et les couverts.
« Café, thé, chocolat, ... ? »
« Café ! » lui répondis-je.
« Comme moi ! ce sera plus simple ! »

J'avais hâte d'être dans la piscine et je pris le petit déjeûner en vitesse. Je crois qu'il m'avait fallu moins de 10 minutes pour avaler trois tartines et deux grandes tasses de café.
"On voit que tu es pressée d’être d'être dans l'eau !"
"Oui"
"Alors, va vite te changer !"
Je grimpai les escaliers quatre à quatre mais avant même d'arriver à ma chambre, je découvris qu'il y avait un énorme problème. Dans ma précipitation de la veille, j'avais oublié de prendre un maillot. Que faire ? Je redescendis pour annoncer la mauvaise nouvelle à Annie.
"Attends quelques minutes", décréta-t-elle, "je vais voir si je peux t'aider avec un maillot à moi. Mais je n'ai que des bikinis ! tu as déjà mis un bikini ?"
"Oui, j'aime bien !"

Annie termina sa tasse de café et me précéda dans le dressing. D'un tiroir, elle retira quelques maillots et bikinis.
"Tiens, essaie celui-çi !" et elle me tendit un bikini vert pâle.
J’étais en train de me demander si je devais essayer sur place ou si je devais aller dans ma chambre quand je vis Annie ôter son top, son soutien et son short. Je constatai qu'elle ne portait pas de petite culotte. Je la regardai discrètement. Elle avait un très beau corps. Ses seins étaient un tout petit peu plus gros que les miens mais aussi fermes. Elle s'avança vers moi, soulèva mon t-shirt. Je levai les bras et elle ôta mon t-shirt. Je dégraffai moi-même mon soutien. "Oh mais quelle jolie poitrine tu as ! tu dois faire tourner la tête des garçons !". Je retirai mon short et ma petite culotte et j'enfilai le bikini. A mon grand regret, la culotte était trop large. "Hélas, je n'ai pas plus petit ! j'avais un bikini à nouer sur les côtés mais je l'ai jeté après les vacances de l'année dernière ! Tant pis ou ... tant mieux ... on va nager nues ... tu verras, c'est très agréable !"

Elle me prit par la main pour me guider hors du dressing. Dans le couloir, elle marchait devant moi et je regardais ses jolies fesses. Nous sortîmes sur la terrasse. C'est la première fois que je me promenais nue dans un jardin et pourtant je me sentais bien. Je dirais même que je me sentais à l'aise. J’étais jeune. J’étais contente de mon corps. J’étais fière de mes seins. Mes fesses étaient bien rondes et fermes et ... je n'avais pas à me soucier de la bonne tenue de mon maillot !

Annie m'emmena au garage pour prendre une seconde chaise longue que nous installâmes au bord de la piscine, à côté de la première. Sur chaque chaise, elle disposa un grand drap de plage. Elle me reprit la main et annonça : "Oups, à l'eau !". Je descendis les marches. L'eau était un peu froide.
"24 degrés !", précisa Annie, "... çà tonifie les seins ! oh bien sûr, toi tu n'as pas besoin de ça !".
"Vous non plus !, lui dis-je.
"Tu trouves que j'ai encore de beaux seins ?"
"Mais ils sont superbes, parfaits !" et je le pense
"Mmmm j'aime que tu me dises cela !"

Sur ce, elle plongea dans l'eau et me rejoignis..
"On fait quelques longueurs ? ok ?"

Nous nagions côte à côte. Je devais ralentir pour rester à sa hauteur. C'était la première fois que je nageais nue. Je sentais l'eau couler sur mes seins, sur mon ventre et entre mes jambes. C'était bon !

"Tu aimes ?" me demande Annie. "Tu avais déjà nagé nue ?"
"Non, c'est la première fois ... mais c'est très agréable"
"Moi, je dirais agréable et un peu sensuel, peut-être même ... excitant !"
C'est exactement ce que j'étais en train de penser tout en m'efforçant de rejeter l'idée loin de moi et bien évidemment je n'aurais jamais osé le dire tout haut.

Nous avons fait une vingtaine de longueurs ... "J'arrête à deux cents mètres ... et puis je vais bronzer !" . Annie sortit de l'eau. Je regardai l'eau couler entre ses jambes. Elle se retourna pour me voir. J'avais une superbe vue sur sa chatte. Je constatais qu'elle était entièrement épilée. Je pensai : « encore un point commun car si j'ai des seins un peu développés pour mon âge, question pilosité, mon petit minou est encore tout nu ». Le sexe d’Annie ressemblait à une très longue cicatrice, avec deux lèvres fines, parfaitement droites, fermées. Je trouvais cela très beau. C’était la première fois que je pouvais regarder le corps d’une autre femme autrement que furtivement. Elle me laissait la regarder. Elle en paraissait même fière. Et moi j’étais heureuse.

Annie alla s'allonger sur le banc. Elle y était de quelques minutes qu'elle m'appella: "tu veux bien venir m'aider à mettre l'huile solaire ?"
"Oui, bien sûr !". Je sortis de l'eau et je m'approchai d'elle
"Mais c'est que tes têtons sont tout durs ! C'est l'eau qui te fait cet effet ?"
Elle me tendit la bouteille d'huile et se mit sur le ventre. Je commençai par étaler l’huile sur les épaules, le dos, je descendis vers la taille, je n'osai pas toucher les fesses et je passai directement aux jambes.
"Reste un peu pour bronzer ... tu seras encore plus jolie quand tu sera bronzée ... tu veux que je te mette l'huile ? Tu commences par le dos ou le devant ?"
"Le dos !"
Annie s'accroupit près de ma chaise et versa l'huile sur mon dos. Elle commença par le haut du dos et descendit lentement. Elle n’hésita pas à s’arrêter sur mes fesses. Ses mains ne faisaient qu'effleurer la peau. Elle n’étalait plus l’huile solaire ! Elle était en train de me caresser les fesses !
"Tu as de belles fesses !"
"Merci !"
"C'est vrai, tu sais ..." mais elle finit par passer aux jambes. D'une pression, elle me les fit écarter pour bien étendre l'huile sur l'intérieur des cuisses. Je ressentais des piccotements dans mon sexe, comme quand je commençais à me masturber. Mais elle n'insista pas et elle s'allongea sur sa chaise.

Je m’étais endormie et je commençais à émerger de mon sommeil quand j'entendis ses halètements. J'entr'ouvis un oeil et, discrètement, en prenant bien soin de ne pas bouger la tête, je regardai. Annie était sur le dos ; de la main gauche, elle caressait ses seins et sa main droite était entre ses cuisses. Elle se masturbait. Après quelques secondes d’étonnement, je commençai à trouver celà excitant. J'eu rapidement une envie folle de faire la même chose. Au bout d’une minute, il fallait absolument que je me masturbe afin de soulager la tension entre mes cuisses et dans ma tête. Mais je n'osai pas. Alors je continuai à la regarder discrètement. Je n'en pouvais plus. « A la seconde même qu’elle joui, je retourne dans l'eau ! » étais-je en train de penser. Mais je n’eus pas à attendre bien longtemps. J'endendis sa respiration qui devenait plus forte. Elle se cambra sur la chaise. Ses deux mains étaient sur sa chatte. Aux mouvements de ses mains, je voyais qu’elle se pénétrait d’une main alors que l’autre s’activait sur le clito. Elle poussa quelues petits cris et elle referma les cuisses sur ses mains. Je lui accordai encore quelques instants et très innocemment je fis semblant de me réveiller. Je la surpris : j’étais déjà assise sur ma chaise que ses deux mains étaient encore prisonnières de ses cuisses. Je croisai son regard. Elle me sourit. "Mmmm c'est bon le soleil !" me dit-elle.

Je courus dans l'eau. L'envie de me masturber me reprenait. Alors je nageai. Annie me rejoignit et se mit à nager avec moi, comme nous l'avions fait en commençant la journée.
"Tu m'as vue ?" demande-t-elle.

(à suivre - très vite) Posted by Picasa

3 commentaires:

Anonyme a dit…

doux et évocateur ce récit qui a su me .....
J'ai hâte de connaitre la suite
doux baisers

Anonyme a dit…

merci ... d'autant plus que je ressens le frisson de ces doux baisers

Anonyme a dit…

salut reviens vite avec la suite stp