Mère des jeux latins et des voluptés grecques, Lesbos, où les baisers languissants ou joyeux, Chauds comme les soleils, frais comme les pastèques, Font l'ornement des nuits et des jours glorieux, — Mère des jeux latins et des voluptés grecques
samedi, juillet 01, 2006
Vaquer ou vacances ? Nous vous souhaitons un été de plesences...
Et pour lire "Chrysalide", l'adresse du site de Bilitis a changé : il faut vous rendre à http://www.erotis.biz
Aux mains de Thallia !
Elle se redressa sur le siège, afin d'allonger ses jambes vers le pare-brise. Elle se plia vers l'avant pour attraper le bord supérieur de sa botte de la jambe gauche, et fit descendre doucement le cuir vers sa cheville. Je suais à grosses gouttes. Avec la chaleur, sa transpiration formait une colle entre son épiderme, et le cuir, et celui-ci résistait à ses efforts.
Mais, me dit-elle, je ne vais pas y arriver !
Essayez avec l'autre, lui dis-je, avec une petite idée derrière la tête
Elle me regarda, à nouveau étonnée, étonnée sans doute que je sois aussi directive... mais elle m'écouta, et se mit à fournir des efforts titanesques pour retirer ce cuir qui lui collait à la peau. En plus, elle se baissait devant moi, et j'avais pu contempler tout à loisir un décolleté majeur, qui révélait deux seins lourds.
Vous n'y parvenez pas, dis-je; je vais vous aider.
Je stoppais la voiture, à la lisière de la forêt. J'ouvris la portière avec précipitation, et fis le tour de la voiture en courant. Elle avait, elle-même, ouvert sa portière, puisqu'elle avait deviné mon intention.
Mais, me dit-elle...
Mais la suite ne sortait pas. Je m'agenouillai devant elle, en me saisissant fermement de son pied gauche. La botte était collée, sans aucun doute, et je la remercia intérieurement de ce cadeau ! Je posai ma main sur le haut de la cuisse de mon invitée pour faire contrebalancer mon effort sur son pied. Je tenais fermement les muscles de sa cuisse dans ma main... délice... Lentement, la botte se décollait et glissait vers moi. Je fis glisser mon autre main le long de la jambe, en un geste furtif. La demoiselle décida de me provoquer ! Elle me tendit son autre jambe, mais dans le même mouvement, elle écarta ses cuisses. Une cotonneuse et sage culotte blanche représentait une pudeur encore prétendue, mais je devinais la mousse soyeuse derrière... Mes yeux restaient fixés sur ce triangle vertueux, pendant que je répétais les mêmes mouvements pour la deuxième, et hélas, dernière botte. Car, ce jour-là, j'aurai débotté un gynécée ! Comme pour la première jambe, je ne me gênais pas pour laisser ma main effleurer la cuisse jusqu'à la cheville, et la douceur de la peau provoqua en moi un flux électrique.
Merci, me dit-elle, on voit que vous savez bien faire !
Oui, lui dis-je, j'ai du être, dans une autre vie, chausseuse pour femmesElle me regarda avec ce même étonnement qui m'amusait follement, et me demanda :
Pourquoi, pour femmes ?
Oh... parce que le pied, n'est-ce pas, c'est très intime... Je la fixai, sans rien ajouter. Elle riait.
Ris ma jolie, me disais-je, c'est très bien.
Une fois installée sur mon siège, je démarrais la voiture, et nous roulions à nouveau, en direction de Bordeaux. Un silence épais commençait à prendre corps, comme si nos esprits mesuraient l'espace qui nous séparait. Pour faire taire cette légère angoisse qui l'étreignait, elle me demanda :
Avez-vous de la musique ? Je lui désignais de la main le vide-poche et... Je jure, je jure toutes les Déesses de l'Olympe que j'avais oublié ma culotte, que je ne pensais plus que je l'avais retiré en partant de l'école, que j'étais sans... Elle ouvrit le vide-poche, et tendit la main, et, au lieu de sortir un CD, elle attrapa la culotte noire, très fine, ... Elle paraissait hypnotisée, alors que je devenais aussi rouge que je pouvais l'être ! Alors que j'allais articuler un mot dans ma bouche coincée, je l'entendis me dire:
Vous n'avez pas de culotte ou celle-ci vous sert pour le rechange ? Quel culot, me dis-je, cette petite. Elle ne pouvait ignorer que, en me parlant de ma culotte, elle me parlait, implicitement, de mon sexe, de mes fesses, de ce que je mets dans ma culotte, et, qu'elle évoquait, par renvoi, la sienne propre. Je lui répondis :
Je fais comme toutes les femmes. Parfois, je n'en porte pas, et puis, d'autres jours, j'en promène deux avec moi, pour le plaisir ou la nécessité...
Et aujourd'hui ?, me demanda t-elle, immédiatement, sans me laisser respirer.
Aujourd'hui... Euh... je crois que je l'ai enlevé... Pardon, mais il fait si chaud... Je vis qu'elle avalait sa salive, elle fermait les yeux, et ses doigts bougeaient sur le tissu. Je tendis mon bras droit pour me saisir de mon bien, mais je l'entendis me dire :
Arrêtez-vous, il faut que vous la remettiez...C'était un ordre, je n'avais pas à discuter. J'étais estomaquée par l'aplomb de cette jeune fille. Mais je ne me voyais pas discuter un tel ordre, car je voulais bien souscrire à une telle autorité, même tyrannique. Nous étions encore en forêt, j'arrêtais la voiture sur un terre-plein herbeux. Je sortis de la voiture, et je fis le tour, mais cette fois-ci, très lentement. Mon coeur augmentait le rythme de ses pulsations à chaque pas. Là encore, la portière était déjà ouverte. J'étais maintenant devant elle. Je m'attendais à ce qu'elle me tende la culotte, mais elle me dit, en prononçant ces mots avec une extrême lenteur.
Voulez-vous bien lever votre pied gauche ?
Je ressentis un coup dans la poitrine, dans le ventre, et là-bas... C'était ma première fois. Première fois qu'une jeune femme allait... J'obéis. Je levais doucement ma jambe droite, mon pied gauche, afin qu'elle soit contrainte de se baisser. Je pus ainsi contempler à nouveau ses seins qui m'appelaient, tels des dauphins naufragés. Elle fit passer le pied dans l'ouverture, et remonta doucement. Elle laissa cette partie de la culotte au niveau de la cheville. Elle leva la tête pour, sans mot dire, me faire comprendre de répéter le même mouvement, je transpirais, de la tête, de la poitrine, et puis de là aussi... Elle fit passer le pied droit dans le cercle de la culotte destinée à accueillir ma cuisse, et un instant, elle laissa ma culotte sur les chevilles. Je vis qu'elle se passait, dans une fulgurance qui provoqua en moi une nouvelle chamade, le bout de sa langue sur ses lèvres. Et puis, avec une lenteur que je trouve juste de comparer à une torture bien-faisante, elle fit remonter ma culotte sur mes jambes et mes cuisses, en suivant le tissu de ses mains, qui labourait ma peau. Elle remontait, elle remontait – mais qu'allait-elle faire ?
Mais, me dit-elle, je ne vais pas y arriver !
Essayez avec l'autre, lui dis-je, avec une petite idée derrière la tête
Elle me regarda, à nouveau étonnée, étonnée sans doute que je sois aussi directive... mais elle m'écouta, et se mit à fournir des efforts titanesques pour retirer ce cuir qui lui collait à la peau. En plus, elle se baissait devant moi, et j'avais pu contempler tout à loisir un décolleté majeur, qui révélait deux seins lourds.
Vous n'y parvenez pas, dis-je; je vais vous aider.
Je stoppais la voiture, à la lisière de la forêt. J'ouvris la portière avec précipitation, et fis le tour de la voiture en courant. Elle avait, elle-même, ouvert sa portière, puisqu'elle avait deviné mon intention.
Mais, me dit-elle...
Mais la suite ne sortait pas. Je m'agenouillai devant elle, en me saisissant fermement de son pied gauche. La botte était collée, sans aucun doute, et je la remercia intérieurement de ce cadeau ! Je posai ma main sur le haut de la cuisse de mon invitée pour faire contrebalancer mon effort sur son pied. Je tenais fermement les muscles de sa cuisse dans ma main... délice... Lentement, la botte se décollait et glissait vers moi. Je fis glisser mon autre main le long de la jambe, en un geste furtif. La demoiselle décida de me provoquer ! Elle me tendit son autre jambe, mais dans le même mouvement, elle écarta ses cuisses. Une cotonneuse et sage culotte blanche représentait une pudeur encore prétendue, mais je devinais la mousse soyeuse derrière... Mes yeux restaient fixés sur ce triangle vertueux, pendant que je répétais les mêmes mouvements pour la deuxième, et hélas, dernière botte. Car, ce jour-là, j'aurai débotté un gynécée ! Comme pour la première jambe, je ne me gênais pas pour laisser ma main effleurer la cuisse jusqu'à la cheville, et la douceur de la peau provoqua en moi un flux électrique.
Merci, me dit-elle, on voit que vous savez bien faire !
Oui, lui dis-je, j'ai du être, dans une autre vie, chausseuse pour femmesElle me regarda avec ce même étonnement qui m'amusait follement, et me demanda :
Pourquoi, pour femmes ?
Oh... parce que le pied, n'est-ce pas, c'est très intime... Je la fixai, sans rien ajouter. Elle riait.
Ris ma jolie, me disais-je, c'est très bien.
Une fois installée sur mon siège, je démarrais la voiture, et nous roulions à nouveau, en direction de Bordeaux. Un silence épais commençait à prendre corps, comme si nos esprits mesuraient l'espace qui nous séparait. Pour faire taire cette légère angoisse qui l'étreignait, elle me demanda :
Avez-vous de la musique ? Je lui désignais de la main le vide-poche et... Je jure, je jure toutes les Déesses de l'Olympe que j'avais oublié ma culotte, que je ne pensais plus que je l'avais retiré en partant de l'école, que j'étais sans... Elle ouvrit le vide-poche, et tendit la main, et, au lieu de sortir un CD, elle attrapa la culotte noire, très fine, ... Elle paraissait hypnotisée, alors que je devenais aussi rouge que je pouvais l'être ! Alors que j'allais articuler un mot dans ma bouche coincée, je l'entendis me dire:
Vous n'avez pas de culotte ou celle-ci vous sert pour le rechange ? Quel culot, me dis-je, cette petite. Elle ne pouvait ignorer que, en me parlant de ma culotte, elle me parlait, implicitement, de mon sexe, de mes fesses, de ce que je mets dans ma culotte, et, qu'elle évoquait, par renvoi, la sienne propre. Je lui répondis :
Je fais comme toutes les femmes. Parfois, je n'en porte pas, et puis, d'autres jours, j'en promène deux avec moi, pour le plaisir ou la nécessité...
Et aujourd'hui ?, me demanda t-elle, immédiatement, sans me laisser respirer.
Aujourd'hui... Euh... je crois que je l'ai enlevé... Pardon, mais il fait si chaud... Je vis qu'elle avalait sa salive, elle fermait les yeux, et ses doigts bougeaient sur le tissu. Je tendis mon bras droit pour me saisir de mon bien, mais je l'entendis me dire :
Arrêtez-vous, il faut que vous la remettiez...C'était un ordre, je n'avais pas à discuter. J'étais estomaquée par l'aplomb de cette jeune fille. Mais je ne me voyais pas discuter un tel ordre, car je voulais bien souscrire à une telle autorité, même tyrannique. Nous étions encore en forêt, j'arrêtais la voiture sur un terre-plein herbeux. Je sortis de la voiture, et je fis le tour, mais cette fois-ci, très lentement. Mon coeur augmentait le rythme de ses pulsations à chaque pas. Là encore, la portière était déjà ouverte. J'étais maintenant devant elle. Je m'attendais à ce qu'elle me tende la culotte, mais elle me dit, en prononçant ces mots avec une extrême lenteur.
Voulez-vous bien lever votre pied gauche ?
Je ressentis un coup dans la poitrine, dans le ventre, et là-bas... C'était ma première fois. Première fois qu'une jeune femme allait... J'obéis. Je levais doucement ma jambe droite, mon pied gauche, afin qu'elle soit contrainte de se baisser. Je pus ainsi contempler à nouveau ses seins qui m'appelaient, tels des dauphins naufragés. Elle fit passer le pied dans l'ouverture, et remonta doucement. Elle laissa cette partie de la culotte au niveau de la cheville. Elle leva la tête pour, sans mot dire, me faire comprendre de répéter le même mouvement, je transpirais, de la tête, de la poitrine, et puis de là aussi... Elle fit passer le pied droit dans le cercle de la culotte destinée à accueillir ma cuisse, et un instant, elle laissa ma culotte sur les chevilles. Je vis qu'elle se passait, dans une fulgurance qui provoqua en moi une nouvelle chamade, le bout de sa langue sur ses lèvres. Et puis, avec une lenteur que je trouve juste de comparer à une torture bien-faisante, elle fit remonter ma culotte sur mes jambes et mes cuisses, en suivant le tissu de ses mains, qui labourait ma peau. Elle remontait, elle remontait – mais qu'allait-elle faire ?
jeudi, juin 29, 2006
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