Mère des jeux latins et des voluptés grecques, Lesbos, où les baisers languissants ou joyeux, Chauds comme les soleils, frais comme les pastèques, Font l'ornement des nuits et des jours glorieux, — Mère des jeux latins et des voluptés grecques
dimanche, novembre 06, 2005
Restauration confondante
Petite histoire par Romane
Depuis que tu étais entrée dans la salle, je n’avais pensé qu’à cet instant. La vue de tes longues jambes gainées de noir, ta jupe s’arrêtant à mi cuisse dévoilant le haut de tes bas, ton sourire enjôleur et tes lèvres pulpeuses, tu me rendais folle. J’entendais le crissement de tes bas à chaque fois que tu croisais et décroisais tes jambes.
Je risquais alors un regard autour de moi dans cette salle de restaurant. Personne ne prêtait attention à nous deux. C’est alors que j’ai glissé sous la table.
La longue nappe me cachait du regard des autres tables.
Tu décroisas tes longues jambes et les écarta à mon approche. Un effluve poivré arriva à mes narines. Ton pubis était caché par un mignon petit slip noir. Je glissais ma tête entre tes cuisses. Le bout de mon nez toucha le tissu déjà bien humide de ta culotte.
J’étais folle. J’agrippais tes cuisses, sortis ma langue et la glissa sur le tissu détrempé. Je retrouvais ton odeur. Je gémis malgré moi. Je léchais longuement ce tissu avant de saisir ta culotte pour t’en débarrasser. Tu te déhanchas afin de m’aider dans ma tâche.
Je posais le bout de tissu près de moi et admirais ce pubis si soigneusement rasé. Je fus surprise de découvrir qu’un petit cordon blanc sortait d’entre tes lèvres. Avais-tu tes règles ce jour là ? J’avais trop envie de ton sexe, de ta liqueur pour m’arrêter là. Je pris le cordon et tirais dessus.
Une boule blanche et visqueuse jaillit de tes lèvres. Ho quel amour. Tu avais mis ces boules de geisha rien que pour moi, rien que pour être humide et coulante à souhait. Je tirais encore et deux autres boules quittèrent leur alcôve. Je les nettoyais avidement avant de m’attaquer à ta chatte luisante. Je sentis ton corps trembler lorsque ma langue glissa dans le repli de tes chairs.
Quel repas divin. J’oubliais le monde autour de moi et te broutais avec avidité. Je regrettais un instant d’avoir laissé mon sac au vestiaire avec mon petit godemiché. Tu allais devoir te contenter de ma bouche, ma langue et mes doigts.
Je ne t’ai pas déçu. J’avais du mal à tarir la fontaine qui coulait dans ma bouche.
Ce fut toi qui mis un terme à mes assauts. Je ne voulais pas m’arrêter. Tu me repoussas et croisa tes jambes.
Je fis une rapide toilette de mon visage à l’aide de ta culotte et remontais le plus discrètement possible. C’est ce que j’avais cru.
Deux femmes me regardaient avec un air de dégout, d’autre avec envie. Je constatais également cela envers la gente masculine. Tu en étais au dessert. Je t’avais lutiné durant tout le repas. Je regardais alors les deux frustrées et me léchais les lèvres. Je sentis ton pied glisser entre mes cuisses. J’étais aussi humide que tu l’étais et je ne portais rien sous ma jupe.
Tu pris la note du repas.
- C’est moi qui régale ! » dis tu avec un sourire coquin. « Au faite, Garçon, je crois qu’un couvert est tombé et a glissé sous la table. »
Mon dieu. Tu ne retiras pas ton pied. Il se baissa, resta un moment surpris par ce qu’il découvrait sous la table. Il remonta, le visage rouge et je vis ta culotte disparaître dans la poche de son pantalon. Il allait rêver de nous ce soir.
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