Je vous ai déjà parlé de "Pink Velvet 3", de Viv Thomas, et de la scène absolue, majeure, sublime, de séduction, et d'amour, de Lolita par Lisa. Mais je n'avais encore rien vu en la regardant. Faute à un logiciel Vidéo défaillant qui n'affichait pas la totalité des images, seconde par seconde; et puis j'ai lancé le film avec un autre logiciel, et j'ai décidé de ralentir le flux du film. Et c'est là que j'ai eu LA REVELATION. Tenez-vous bien, c'est parti pour plusieurs jours de "décortiquage" et de méditation sur :
- la mise en scène du rapprochement de deux êtres;
- les dialogues;
- le jeu des "actrices";
- l'art des baisers;
- la cohérence narrative.
Mais ce que vous ne devez pas oublier, c'est que cette scène vue au ralenti est le trouble incarné. Et que rien, pas même un pape, un mollah, ou je ne sais quel "fou de Dieu", ne peut résister au DESIR incarné par Lisa à l'égard de Lolita. Un désir qui part de la tendresse pour créer une tendresse spéciale et sublime...
Je vous ai déjà parlé de "Pink Velvet 3", de Viv Thomas, et de la scène absolue, majeure, sublime, de séduction, et d'amour, de Lolita par Lisa. Mais je n'avais encore rien vu en la regardant. Faute à un logiciel Vidéo défaillant qui n'affichait pas la totalité des images, seconde par seconde; et puis j'ai lancé le film avec un autre logiciel, et j'ai décidé de ralentir le flux du film. Et c'est là que j'ai eu LA REVELATION. Tenez-vous bien, c'est parti pour plusieurs jours de "décortiquage" et de méditation sur :
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